[celolf]

Bonjour,

Etant en train d'essayer de comprendre pourquoi ma copine n'était plus assez attirée pour continuer avec moi, et venant de lire les ebooks de John Alexander, je me pose des questions sur l'influence que le sexe a pu avoir dans notre séparation.
John Alexander pense que pour que la fille reste attirée il faut éviter au maximum de lui montrer qu'elle a du pouvoir sur nous et garder une bonne part d'indomptable. Avec ma copine au départ j'étais à ses yeux dominant sexuellement, je la guidais pour l'aider à devenir compétente dans ce qu'elle me faisait parce qu'elle était inhibée et avait connu un seul autre gars ( pendant 3 ans ) avec qui c'était moyen au niveau sexuel. Etant très amoureuse de moi alors que je ne partageais pas encore ses sentiments à l'époque, elle a compris que le sexe était un excellent moyen pour me garder et finir par me faire devenir fou d'elle. J'étais donc un véritable défi. Elle a donc persévéré jusqu'à me connaître par coeur et à savoir me rendre dingue sur commande... Pour la remercier de ses efforts, et sachant qu'elle était peu confiante avant de me connaître, je lui ai dit plusieurs fois qu'elle était devenue très compétente sur le sujet ( ce qui était vrai ) et qu'elle était capable de faire jouir n'importe quel homme. Pendant les derniers mois de notre relation je le lui ai dit de nombreuses fois et elle prenait plaisir à s'en vanter. De plus j'ai toujours eu plus d'appétit qu'elle, j'étais donc régulièrement en demande. Au fil du temps, prenant plaisir à m'abandonner toujours plus à elle, je l'ai encouragée à me dominer au lit, à toujours plus contrôler.
Récemment, peu après avoir décidé de rompre et alors qu'on savait que j'allais quitter son appartement, et que bien sûr j'étais froid vis-à-vis d'elle, il lui est arrivé de chercher à m'exciter juste pour tester son pouvoir sur moi...

Ma question est donc: est-ce une erreur de dire à une fille qu'elle s'y prend très bien sexuellement et de lui avouer que c'est elle qui a le contrôle sur nous dans ce domaine ?
Ne perdons-nous pas l'aspect " défi " pour la fille ?