Ce que je n'aime pas vraiment avec la notion de prizing, c'est de croire qu'à l'inverse du needysme, qu'il faut déconsidérer les femmes. Pour moi c'est l'erreur qui mène à l'arrogance et qui nous enferme dans du narcissisme.
Au contraire, je pense qu'il faut considérer les femmes (même plus qu'avant) mais pour ce qu'elles sont uniquement. Les apprécier telles qu'elles sont comme le prizing pousse à nous apprécier tels que nous sommes. C'est connaître ses capacités, les améliorer et nous connaître à notre juste valeur.
Être h2g, c'est montrer une indépendance émotionnelle et relationnelle qui renvoient l'image d'un gars bien et droit dans ses baskets ; le type, avec lequel, être et discuter est un moment intéressant. Il n'est pas facile à obtenir car il est indépendant. Du moins, il le montre. Maintenant, je pense qu'on peut être h2g en étant assez froid et distant mais aussi en étant plus chaleureux et amical. Pour moi, tu peux côtoyer facilement un h2g mais ça ne veut pas dire pour autant qu'il est facilement accessible dans son intimité. C'est le type qui s'épanche peu sur ce qui compte réellement pour lui. Tu n'as pas l'impression d'en avoir fait le tour même après longtemps.
Maintenant, vous l'avez parfaitement souligné toums85 et Bad Gentlman : ça peut vite être pénalisant.
Si le prizing est quelque part nécessaire, je ne pense pas que ce soit le cas pour le h2g. Je pense que ce dernier s'adresse plus directement aux tempéraments plus réservés.
Ceci dit, le mieux est de ne pas s'enfermer dedans et de sortir de son h2g de temps à autre, ça ne peut qu'être bon.
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