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Vieux 07/02/2013, 11h57
Stéphane-Pierre Valmont Stéphane-Pierre Valmont est déconnecté
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Eh bien, j'avais pas pensé à tout cela. Ma pensée était plus simple. Il y a beaucoup de cultures dans le monde où le fait de ne pas avoir de partenaires "fixes" est tout simplement normal.
Donc je ne vois pas pourquoi cela dérange. Je me reprends, dans votre conception je la comprends, dans la mienne, cela sort de la conception. Ici je constate que c'est comme un signe d’appartenance. Alors que dans d'autres cultures c'est juste le résultat d'une attirance sans "hypocrisie" des sentiments.
Supplément au voyage de Bougainville Diderot
La tribu Asiatique des femmes dominantes.

Moi j'ai l'impression qu'il y a un désire non satisfait. Être attiré en couple, est une chose normale. Non satisfaire son désire, est la refouler et donc insatisfait. La question soulèverait plutôt : d'où est venu l'idée de la fidélité ? <-- Paradoxe (Je n'en reviens pas de faire de la philo ici, Haha !) Est-ce contraire à notre nature ?.
Voilà bien des questions que je ne serai répondre, si ce n'est par mes sources ci-dessus. Dans ce cas là je défendrai la position : Oui, on sort de notre sphère, on refoulerai donc notre désire, parce que nous sommes incapable de le satisfaire, ce qui a crée la fidélité.
J'en parle à mon prof de philo et je vous tiendrai au courant
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" Mon petit, lui dit-elle, avez-vous le trac ?
- Non, Madame, répondit la jeune fille étonnée.
- Rassurez-vous, cela viendra avec le talent. "

Dernière modification par Stéphane-Pierre Valmont ; 07/02/2013 à 12h07 Motif: Ajout de suppléments
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