Rien n'est parfait en ce bas monde...
Peignoir
Le temps accapare
Les deux silhouettes jouent du fruit
puis s’enfoncent dans l’automne de mes pensées
Tout sera oublié
L’enfance n’aura plus son âge et sera pendu
au cou des cimes et fleuves
et des contes
Alors les virages-eunuques
entonneront cette maison-champs :
« À vous braves souvenirs
Et vous oubliés sentiments
Ne reculer ni devant l’abîme, ni devant le vent »
Les choses fussent dites
et le destin,un clos avenir...
Et l’eau déclocha les pieds
pour ne laisser que la chevelure
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