Citation:
Envoyé par Noir
Bof, moi je suis pas surprise par la façon de voir les choses de l'auteur, j'ai un peu le même point de vue, ça ne me dérangerait pas de faire le tour du monde pour une rencontre.
Je me dis toujours que dans dix ou vingt ans j'en rigolerai (et au vu de tous les trucs dingos que j'ai fait dans ma vie, un de plus ou de moins...) 
Par contre, oui, l'idéal c'est de ne pas se déplacer JUSTE pour rencontrer un crush, mais d'en profiter pour vivre une expérience personnelle : Un lieu particulier à visiter, d'autres personnes à voir, un événement auquel on rêve de participer etc.
Partir et lâcher de l'argent pour un mec : NON, mais partir pour découvrir une nouvelle facette de soi + en profiter pour aller voir ce gars : OUI OUI OUI !  |
En soi c’est pas tant le voyage qui pose problème. C’est ce qui se passera après.
Des folies on en à tous fait. Et on doit parfois miser gros si on veut gagner gros. C’est pas foncièrement une mauvaise chose. Mais plus on a conscience que c’est une folie, mieux c’est. C’est moins bien quand on voit ça comme une opportunité à ne pas manquer.
Car de ça dépend notre capacité à gérer l’après. A encaisser la réponse de la réalité à notre folie. A lâcher prise quand il faut lâcher prise et accepter ce qu’il y’a à accepter.
C’est comme au poker, tu peux toujours gagner avec un 2 et un 3 (+- la pire main possible) même face à une paire d’as, mais ça n’aura JAMAIS aucun sens de faire tapis au préflop (quand aucune carte n’est encore sur la table, à l’aveugle en gros) avec un 2 et un 3 (pire main). À part si tu veux tester ton étoile.
Edit: ça a du sens de le faire parce que j’ai 0,0003 % de chance de quintupler ma mise et ce serait fantastique. Ce serait magique et c’est possible.
Mais ça n’a aucun sens de le faire parce que ça n’a que 0,0003 % de chance d’arriver.
Ce qui en vrai illustre parfaitement ce que le vdd dis ici :
Citation:
Parce que le fantasme est le moteur de la romance féminine.
(alors que l'opportunité est celui de la romance masculine)
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M’enfin, bonne chance à l’auteur, sincèrement.