Cool.
Mais en vrai, plus j’y réfléchis, plus je me dis qu’on est en plein dans l’effet « stat de merde ».
Un peu comme la stat qui dit qu’on a plus de chances d’avoir un accident de voiture sur un trajet qu’on effectue au quotidien ; bah oui tu vas pas avoir un accident là où tu ne te trouves jamais, ou une fois dans ta vie (il y en aura, mais en proportion logique du temps de présence).
Donc, si on accepte l’idée que tout le monde ou presque passe par les études et le travail, il est logique de retrouver cette prépondérance dans les stats de rencontre.
A l’inverse, peu de gens sortent régulièrement en club ou en bar.
Reste le cas SDR, mais qui est pourri pour les raisons qu’on connait (déréglement des comportements qui deviennent compulsifs/insatiables/illimités dans leurs exigences).
Bref, stats de merde qui ne disent rien ou presque
L’article reste intéressant sur le point des activités sous forme de cours, ou sur d’autres lieux peu usuels mais propices au daygame (bibliothèques etc).
Ces lieux sont intéressants à mon sens pour les interactions qu’ils occasionnent, qui sortent un peu de l’ordinaire et qui permettent de filtrer sur des intérêts communs (= inutile de draguer en bibli si on ne lit que Picsou)