L’espace de rencontre a son importance.
La sociologie des boites de nuits est particulière. De même que pour chaque boîte il existe une clientèle-type particulière.
La sociologie des sites de rencontre est particulière. De même que pour chaque SDR il existe une population cible particulière.
Etc etc etc
De la même manière, tout le monde ne fréquente pas les bibliothèques ni ne va à la messe. Je prends volontairement ces exemples car ce sont globalement des publics qui excluent les milieux SPU et SDR.
Partant de ce constat « à la hache », il existe bien sûr des exceptions et en tout lieux il y a des gens perdus qui ne sont pas à leur place (ils n’y resteront pas longtemps).
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Pour le reste ton état d’esprit est exactement ce qu’on appelle un karma de chiotte ; cela te reviendra dans les dents d’une manière ou d’une autre.
Pour autant je te comprends car j’ai moi aussi eu des moments difficiles, et globalement la vie de sargeur nous expose à ce genre de ressentiment, à force de côtoyer des profils malsains.
C’est pourquoi je te renvoie à ma première remarque. Essaye de nouveaux fields. Innove. Tu dois surmonter cet état d’esprit sans quoi tu te consumeras tout seul.
Bon courage, ce n’est pas évident.
Sois d’abord convaincu qu’il existe des femmes correctes voire très correctes, dans la même proportion que les hommes et même sûrement davantage. Le problème est que tu vieillis et que les profils que j’évoque ici sont naturellement les plus prisés d’autant que le fondement de leur valeur provient justement du fait que leur cul ne tourne pas de main en main.
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