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Envoyé par Oceuss
Pas à moi.
Enfin je laisse tomber. Y a tellement d'incohérences, de choses qui ne vont pas et sont malsaines dans ta façon de procéder, sans compter que tu essayes de te draper d'une vertu factice pour te déculpabiliser (parce que, soyons sérieux, c'est ça que tu fais) et que soit tu n'as aucune réelle empathie, soit elle est vraiment défaillante.
Sache juste que tu briseras quoi qu'il arrive ta copine actuelle et que ça ne sera que pire s'il s'avérait que c'était pour la remplacer immédiatement. Tente de mettre de la pommade autant que tu veux, hein, tu ne la feras à personne ici.
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Comme tu veux.
Je sais que ce n'est pas bien, de parler à cette femme sans que ma copine ne le sache. Elle sait juste que j'ai émis le souhait de l'inviter, un jour, et quand elle a mal parlé d'elle je l'ai défendue.
Et également je sens qu'elle est dans une période délicate (opérations, ...), et ça me fait mal au coeur de la laisser en plan à quelques semaines d'une amélioration notable de sa qualité de vie. Après je lui ai encore redit, après une petite brouille, que d'oublier mon projet d'enfants, ça me coûte beaucoup. Mais que l'affection est là (en gros je lui ai fait comprendre que tant pis pour les enfants pour le moment, et vu la période + l'attachement que je ressens, c'est pas le moment de couper).
Autre approche, si je recroise par hasard cette voisine et qu'elle me demande comment ça va, au lieu de dire encore que je me sens bien, je lui dirai que je me sens un peu moins bien en ce moment (doutes, ...), et que je lui raconterai car ça me ferait du bien. Que si je n'ai pas trouvé de concessions et que je sens qu'une femme peut partager mes projets de vie, alors je vais me rendre libre.
Mon gros point de perdition est lié au fait que je me demande vraiment si elle bloque à cause de la situation présente, ou si en communiquant sur le fond de mon ressenti, elle me laissera l'approcher davantage. (Pour le moment j'ai juste posé le constat que nos besoins ne sont pas pareils mais peut-être imagine-t-elle que j'arrivefai à faire des concessions je ne sais pas... le sujet n'a pas été développé depuis la dernière fois).
Et je préférerais clairement qu'elle me laisse parler du fond de mon ressenti.
Si tu ne souhaites plus réagir au sujet je comprends et ne vais pas te forcer. Mais tu as eu le mérite de souligner que ce n'est pas super éthique comme point de départ. J'espère qu'en m'ouvrant, me confiant, la personne pourra comprendre mon point de vue, sachant que je n'ai sincèrement pas envie de lui faire du mal.