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Vieux 26/02/2023, 22h33
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Date d'inscription: décembre 2018
Localisation: À Balbec, ou quelque part dans l'Italie de la Dolce Vita de Fellini.
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Entièrement d'accord, Marseye.
Tout est énergie sexuelle, reproduction/pérennité de l'espèce, et équilibre de l'ordre naturel.
Le fait social n'est que l'outil du fait biologique, n'en déplaise aux progressistes.

EDIT : Totor vise juste. Quid de ta progéniture et ton nihilisme, cher Marseye ?

Totor : "Ah bon pourquoi? "
Parce que telle est notre destinée, tout simplement. Le reste n'est que vaine chimère et néant.
Nous ne sommes, surtout les 3/4 des hommes, que quantité dispensable d'un point de vue strictement évolutionniste.
De la main-d'oeuvre, de la chair à canon pour le 1/4 d'hommes puissants (lions), et des géniteurs de substitution pour les 2/4 de femmes matricielles (chimpanzés) restantes.
Nous signons littéralement un contrat à durée déterminée : nais, crois, travaille et/ou procrée, disparais.

Le plus absurde dans tout cela ? C'est que, ainsi que l'avaient remarqué de nombreux penseurs, dont Samuel Beckett, l'on ne peut se soustraire à cette moire. Ceux qui s'y sont essayé l'ont toujours in fine regretté, livrés à l'incompréhension et la dépression. Excepté les serviteurs de certains sacerdoces spécifiques (les spirituels), et encore. En témoigne cette discussion.
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« (...) Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. »

Dernière modification par Beren777 ; 26/02/2023 à 22h49
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