Ca me semble féminin en surface, parce que les femmes avouent facilement pourquoi elles ne suivent pas les conseils, parce qu'elles sont plus à l'aise avec leurs faiblesses, émotions, contradictions; "Je me sens trop faible pour le quitter" "Je n'ai pas le courage" "La force" (je parle en général, pas forcément que du cas ici)
Or, c'est masculin aussi, mais là ce sera caché, la décision semblera prise: "Je sais que je devrais faire du sport MAIS..." "J'aurais dû l'aborder MAIS..." "Lundi je commencerai à changer sur X points..."
"Voilà mon 4567e plan d'action, cette fois c'est sûr ça va marcher"
Au fond la raison est la même: manque d'énergie, manque de force, manque de courage.
Et donc la question n'est pas la prise de décision, au fond on s'en fiche, déclarer qu'on le fait ou non ne change rien, mais pourquoi on en a pas la force quand on en a besoin.
Et la stratégie pour en choper, à peu de frais, et sur notre dos, est la même: se faire soutenir par X milliers d'inconnus sur internet. Là où les femmes aimeront se faire plaindre, les hommes préféreront un "vas y champion" qui n'ira pas plus loin dans une majorité des cas non plus.
Combien de mecs suivent les conseils des SOS? Des journaux? 5? 10%?
Même proportion que les meufs. Le critère genré n'est pas pertinent ici, ou bien en surface, sur la méthode pour choper des encouragements.
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