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Envoyé par Mikke
Je pense aussi qu'il y a une partie du a la mémoire génétique.
Je prends mon exemple personnelle, j'ai beaucoup d'ouvrier et de militaire parlais les ancêtres. Ça ne m'étonnerait pas que ça ait joué un rôle sur mon corps et ma personnalité.
Dans le même style, j'en connais quelques un qui son d'ascendance bureaucratique, et ils sont tout l'inverse de moi.
Ça n'a pas bien sûr valeur de preuve, je n'ai pas vu d'étude dans ce sens, mais je note la coïncidence qui au fil de mes expériences deviennent récurrence
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C'est même prouvé scientifiquement, c'est assez récent. La mémoire transgénérationnelle, ou biologique. Elle se transmet par les deux parents, avec toutefois une certaine préséance pour le lien mère-enfant (pour des raisons évidentes liées à la grossesse) et pour la douleur (expériences traumatiques). Ce capital génétique semble surtout concerner l'enfance et la puberté des géniteurs. Ce qui signifierait par exemple qu'une femme victime, point Godwin, de la Shoah durant son adolescence, transmettrait une partie de ce passé émotionnel à sa progéniture. Transmission naturelle ensuite décuplée par l'articiel (éducation, société).
Il y a aussi la notion, plus spirituelle et ésotérique, d'égrégore ou d'inconscient collectif (qui serait en permanence alimenté par nos désirs/libido subconscients, nos rêves et nos espoirs).
Il est par ailleurs assez cocasse de relever que ce sont principalement des chercheurEs gauchistes qui oeuvrent sur ce sujet, lorsque l'on sait qu'elles passent pourtant la plupart de leur temps à nier/"déconstruire" toute théorie évolutionniste et le moindre déterminisme, lors de leur manif seins à l'air hebdomadaire.