Intéressant mais décousu.
Un point très bien expliqué, comment l’anxiété générée par une approche insécure va se transmettre à l’interlocuteur, tandis que la confiance en soi aura l’effet inverse.
La confiance en soi permet de se détacher de nos failles intérieures (elles existent toujours) afin de s’intéresser davantage à ce qu’il se passe à l’intérieur de l’autre.
Autre point intéressant, la capacité à gérer une critique afin de faire durer un couple. Bon, là je me suis dit « Robert, as tu réellement connu beaucoup de femmes ? »
Mais c’est un point très important.
Dernier point, celui qui donne son titre à la vidéo, qui ouvre et clôture l’extrait : nous serions attirés par des traits hérités de nos parents. Notamment des traits toxiques finalement. On rechercherait un type d’opposition semblable en tout cas. Et ce serait toxique.
J’avoue que ça m’a fait un peu mal au cul.
De base, j’avais déjà remarqué que ma femme ressemblait énormément à mon père (uniquement dans son caractère je vous rassure :-/).
Après je ne suis pas alarmiste, j’entends la théorie de Greene mais je ne vois pas où se situe l’apport : l’attirance ne se négocie pas.
Que m’importe qu’une autre femme soit davantage « faite pour moi » si je ne la désire pas…
Robert a raison de souligner qu’une capacité à avoir des discussions intéressantes devrait être un critère de choix prioritaire pour qui veut durer. Basique, quoi qu’on voit souvent sur ce forum que la plupart des hommes ne sont pas gênés par une plante verte voire une cagole.
Par contre Robert semble sous estimer le physique.
Même si ok à la fin il ne reste surtout que la personnalité et les discussions, ya quand même quelques dizaines d’années en amont où l’entente physique compte particulièrement.