[Caracole]

Salut l'ami, je me permets de répondre à ce sujet fort intéressant,

Envoyé par K3mi

Avant les hommes faisait la guerre, les femmes les aimaient car c’était des guerriers.

J'ai tendance à croire que c'est une représentation idéalisé du passé. Comme une matrice d'un discours romantique et aussi une forme de discours culpabilisant.

Pour moi les discours de Zemmour sont nauséabonds, pas faux, ni sans arguments mais nauséabond tant je crois que ses postulats sont fondés sur la haine de quelque chose. J'entends par là que son interprétation du monde me semble loin d'être une ôde à la vie, bien au contraire j'y vois de la régression et le ressentiment.

Il est, à mon sens, des types de femmes pour des types d'hommes. Personnellement j'ai vaguement idée de celle qui me correspondent par contre j'ai une longue liste de chose qui me sont fatale et m'impose de dire non.

Personnellement qu'est-ce que j'en ai à carré que les hommes s'épilent? souhaite faire ceci ou cela? Je me sens assez libre pour littéralement m'en foutre. Tant que ça n'arrive pas chez moi, dans ma propre maison.

La ou ce type de discours me gène c'est "Oui bah la société change, en "mal" (du moins pas comme je le souhaiterais), donc c'est la faute de ces changements qui font que je n'arrive pas à ceci ou celà".

Wha moi je trouve qu'on idéalise tellement ce qui fût, ou le "tu dois", que ce soit la société technique de performance avec ce discours "D'un homme ça doit FC tant de fois par jours/mois", les discours féministes "Un homme ça doit accepter une femme qui s'épile pas...", les discours patriarcaux "Un homme ça doit être un guerrier..." et toute ces conneries d'injonction de la société.

Le "Tu dois" est le pire ennemie du "Je veux". La question la plus pertinente dans ma vie est "Qu'est-ce que je veux?". Et si mes exigences sont élevés alors, oui, il y a des chances que je ne trouve rien à ma hauteur.

Aussi la vie est faite de sorte que la frustration, la colère, la souffrance me semble être des sentiments nécessaire au bon équilibre mental. Personnellement ce que j'aime c'est le gout des femmes. Leurs amertumes et le miroir qu'elle reflète en moi même à m'en casser les dents.

En somme la vie est un jeu, un grand n'importe quoi, qui, avec des yeux d'enfant, devient un magnifique terrain de jeu, d'opportunités et de jouissance.

Au plaisir de lire ta réponse,