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Envoyé par Alana
C'est ce que explique Oh Yeah sur la page précédente, nous les femmes, ne sommes pas faites pour chiffrer, avoir 10 000 prétendants.
On se retrouve vite noyées dans la masse qu'on a créé.
On monte notre problème inconsciemment, un peu comme un gosse qui a reçu trop de jouets sous le sapin.
Et comme nous n'avons pas conscience de ce problème et surtout des causes de son développement, nous ne savons pas réagir adroitement.
Les mecs n'ont pas ce souci.
D'abord parce que leur choix sera toujours beaucoup moins conséquent que les meufs (ils n'auront jamais 10 000 prétendantes derrière leur porte) et aussi parce qu'un homme est davantage dans l'action.
Il ne perd pas son temps en palabres, il agit.
Les SDR accentuent ce malaise, chez nous les femmes. C'est un cercle vicieux, et plus tu seras sur ce marché là, plus tu vas t'enfoncer dans ce problème de sur-abondance. Comme une drogue.
D'où la nécessité de privilégier le réel, les rencontres fortuites, vraies, tangibles. 
Tant que tu restes sur du virtuel, tu nourris ton problème et ne sors pas de l'impasse. |
Je pense que c'est vrai, mais c'est pas vraiment une question d'être un mec ou une nana, enfin biologiquement parlant du moins. A l'époque ou je ponçais tinder, j'avais tranquillement un date tous les soirs de la semaine, en filtrant pas mal les profils qui me plaisaient. Des discussions virtuelles un peu tout le temps, etc. Bah j'ai ressenti la même chose. Même si le mec doit être actif dans la séduction, le fait d'être sollicité en permanence pratiquement gratuitement (parce qu'évidemment, moins j'en faisais, plus j'avais de succès la dessus
) fout en l'air le cerveau, précisément dans le fait d'accepter de mettre un minimum de billes dans chaque (ébauche de) relation.
La solution est simple, en tout cas, pour ma part j'en suis sorti en arrêtant ces conneries d'applis de rencontre.