Le premier confinement (mars) m'a fait très mal.
Ayant une vie très active tant du point de vue social, associatif ou sportif, voir tout mon quotidien chamboulé de cette manière m'a foutu un gros coup de blues.
J'avais le moral dans les chaussettes et léthargie totale.
Puis je me suis ajusté à cette nouvelle vie en cette situation de pandémie au second confinement (octobre).
Ca fait toujours bien chier, surtout quand t'as des tocards au pouvoir qui gèrent le pays comme des bras cassés (
des criminels), mais je le vis beaucoup mieux et occupe mieux mon temps en l'investissant dans des projets long terme.
J'ai remplacé mes anciennes activités tournées vers l'extérieur en activités centrées vers l'intérieur comme beaucoup plus de lecture, travail d'introspection, optimisation du temps, plus de repos.
Apprendre à apprécier le calme (forcé par cette pandémie) plutôt que le subir.
Marc-Aurèle écrivait :
Citation:
Mes activités peuvent bien être entravées, mais mon élan spontané et ma disposition ne peuvent être entravés, parce que je puis choisir entre mes actes et renverser l’obstacle. L’intelligence, en effet, pour tendre au but qui la guide, renverse et déplace tout obstacle à son activité. Ce qui suspendait cette action devient action, et route ce qui barrait cette route.
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Faire de cet obstacle qu'est la crise du covid un chemin pour construire son avenir plutôt qu'un adversaire à combattre.