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Vieux 20/02/2021, 15h43
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Envoyé par Beren777 Voir le message
Aujourd'hui, c'est beaucoup d'efforts pour peu de choses.
Pour un sexe éphémère de piètre qualité.
Pour une femme progressiste, féministe, dont la compagnie n'a que peu d'intérêt : elle ne sait pas cuisiner et/ou entretenir sa maison, ne veut pas d'enfants ou retarde l'échéance ( et, quand elle les a, ne les élève pas convenablement ), est susceptibe de tromper, trahir, est vénale ( apparences, argent, notoriété, regard d'autrui ) et addict aux médias ( drôle de mélange entre solipsisme et suivisme, validation sociale ), s'habille selon la mode du moment ( peu d'originalité, de personnalité, d'authenticité ), critique régulièrement la gent masculine, n'a pas ou peu de passions ( lorsqu'elle en a, c'est de l'équitation, comme les 3/4 de ses contemporaines ), n'a pas ou peu de conversation ( hormis sur la pluie et le beau temps, les derniers ragots ), se plaint et se " victimise " beaucoup, rechigne pour le sexe ( LTR ), etc.
Raison de plus pour considérer l'option "expatriation" (en dehors des pays occidentaux d'Europe et d'Amerique du Nord) d'un bon oeil.

En plus de permettre d'augmenter son statut socio-sexuel voire sa génétique, le féminisme "hypocrite" n'est pas encore trop présent en dehors de la société occidentale - l'hypergamie et le narcisme des réseaux sociaux par contre est présent absolument partout dans le monde quant à lui.

L'équation est simple: capitaliser en argent et en sport / muscu en occident, et aller "profiter" des relations hommes/femmes ailleurs. CQFD.
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