Alors, pardon, mais j'estime que ma dignité, celle de ma femme, de nos familles et, à travers cela, de notre peuple, a bien plus de valeur que le vulgaire plaisir éphémère et illusoire d'une sensation de "liberté". Je suis une femme "libérée", je sors et fais ce que je veux, sans me soucier des conséquences ; mon corps, mon choix. Non, il en est absolument hors de question. Ce n'est pas le progressisme ni le féminisme, qui ont construit l'humanité. Ce sont les valeurs : le bien commun (famille, société), le travail (qui fonde le cadre d'une civilisation), et la culture (par l'art, l'on préserve le langage, et donc la mémoire, l'Histoire, l'âme d'une civilisation).
Dans cette vision-là , la femme violée, ou la femme ayant connu 50 partenaires sexuels, l'homme émasculé ou non-binaire ascendant hélicoptère, ou encore le prédateur sexuel, etc... sont à éviter absolument.
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« (...) Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. »
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