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Vieux 14/01/2021, 17h30
el bourinho el bourinho est déconnecté
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Je vois que plusieurs fois la notion d'abondance a été citée.
En pratique, je suis loin d'être un tombeur, ni d'être dans l'opulence d'opportunités. Je n'en ai absolument pas plus que le gars lambda de ce forum.

Quand je parle de papillonage, c'est pas forcement de l'intense et de la recherche de nombre. Je me dis plutôt que si j'en ai envie à un moment et que j'arrive à me créer des opportunités (SDR, SPU etc..) c'est tant mieux, et sinon ça viendra un peu plus tard. Mais globalement je suis confiant car je vois que ça a toujours fini par payer un moment et que je rencontrais des filles cool.

Vraiment aucune pression à ce niveau là et c'est pour ça que je pense qu'il est possible de s'en sortir dans ce mode de vie en ayant ce détachement : pas de pression sociale, pas de pression de rencontre, surtout si on arrive à garder quelques sexfriends.
Je pense que le fait d'avoir déjà construit une relation longue avec les voyages, les weekend spa, l'achat de l'appartement et sa deco, bref tous les trucs qui précèdent l'enfant dans le couple tradi , font que j'arrive à avoir ce détachement puisque quelque part j'ai déjà vécu pas mal de choses de la vie de couple.

Et effectivement comme dit par Alana, il est indispensable je pense d'arriver à se sentir heureux seul, ce qui est tout à fait mon cas.

Pour ce qui est des enfants, je pense que chacun a sa théorie. Apres, qu'on parle de but premier de l'homme que de procréer, ou de notion de regrets en étant père tard, ou même du bonheur qu'un enfant peut apporter, ce sont des notions qui me sont totalement indifférentes. Je ne m'y retrouve pas du tout. J'ai même un certain dégoût quand je vois les gens de mon entourage étaler des photos de leur progéniture sur les réseaux. Peut être que je devrais consulter quand même vous me direz ^^
Je vous rassure, pas de traumatisme pouvant expliquer ce manque d'envie d'avoir des enfants, plutôt un lifestyle qui ne correspond pas du tout à la paternité, je me l'explique comme ça.

Et comme on dit, les regrets c'est quand on n'a pas pu faire quelquechose dont on a envie. Quand on est quasi certain de son coup (et encore le quasi ne vient que de la normalité sociale et statistique du fait de procréer), je pense qu'on y pense pas.
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