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Vieux 24/11/2020, 09h57
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Envoyé par W0lfenSs Voir le message
Yo,

Avant toutes choses tout mon soutiens dans ces épreuves difficiles. Je n'imagine pas l'horreur que ça doit être de voir un proche que tu aime se mettre aussi mal.

Je vais apporter un contre point aux avis des autres, sans pour autant me faire l'avocat du diable. Car je pense que dans le fond ils ont raisons et que le risque de t'auto détruire avec elle semble très probable.

Contrairement a ce que dis daddy je pense qu'un couple qui surmonte ce genre d'épreuve peux en sortir très très renforcé. Encore faut il les surmonter.
Avant de te dire de t'en aller il faudrait un peux plus de contexte selon moi :

Depuis quand à elle des idées suicidaires ? Depuis le confinement ou est elle assez dépressive de nature ?
Est elle suivit par un psy ou non ? Le souhaite elle ? Le lui as tu déjà proposé ?
Savait tu qu'elle était comme ça ou l'as tu remarqué assez vite ? As t-elle des proches qui peuvent la soutenir autre que toi ?
Comment se sent elle depuis cette dernière tentative ? En quoi est ce lié au confinement ?

Voilà je te pose un paquet de question car selon moi avant de prendre la poudre d'escampette il faut quand même mesurer certaines choses. Ton départ pourrait causer le sien définitivement et sans vouloir te retenir par la culpabilité en te disant ça (car tu n'as pas à l'être) il est fort probable que tu te sente coupable quand même si ça arrive.

Aux autres : Diriez vous à quelqu'un qui sort avec une personne en phase terminale de cancer / muco ou autre maladie qui condamne potentiellement voir de manière sûre de s'enfuir en courant de manière aussi radicale ?
Je pense que ce n'est pas si simple que ça et que dans cette histoire il manque des données importantes.
Attention à l'argument " une maladie ne se choisis pas une personne qui veut se suicider le fait volontairement " qui est très facile et serait assez éronnée si d'aventure la miss est cliniquement constatée dépressive.
On est pas forcément face à quelqu'un qui décide de se mettre à l'alcool ou à la drogue de manière consciente et qui donc peut être tenu responsable de ses actes bien plus facilement. Et donc pour l'auteur moins sujet à la culpabilité de s'en aller.


Bien que je reste d'accord avec vous et qu'on ne peux pas porter le malheur du monde sur ses épaules et tendre l'autre joue.
Merci pour ta réponse, des précisions s’imposent en effet, alors pour répondre à tes questions:

-Grosse crise depuis le mois d’avril qui provient d’une tendance anxieuse diagnostiquée depuis longtemps (2016 pour la première fois), cette tendance ressort surtout dans les périodes de calme (chômage, confinement...)

-Elle est suivi hebdomadairement par un psychiatre + elle a fait 2 séjours en HP.

-elle a sa famille mais c’est tout, pas de pote. Ce qui explique aussi certaîs comportement comme sa dépendance affective.

-Depuis la dernière, elle dit que la vie est belle qu’elle ne le refera pas, comme à chaque fois (mais elle finit toujours par le refaire).

Pour info un point important, elle prend un médicament dangereux qui peut creeer un coma si pris en grande quantité mais n’a jamais fais le combo avec les somnifères alors qu’elle sait très bien que que ce serait « plus efficace ».

Je ne sais pas si ces arguments pourraient faire pousser un contre avis, à une situation pratiquement tranchée de mon côté...

Merci d’avance
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