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Vieux 01/11/2020, 16h59
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Inspection générale

Retour à la chronologie narrative après cette parenthèse futuriste et retour en France après mon voyage en Europe centrale. Je retrouvais Agnès, la maman rencontrée au café chéri auparavant et avec qui j’avais couché sans capote le soir même. Après avoir dîner près de son quartier, on alla à son appart, j’avais très envie d’elle. Une fois allongés dans son lit, je commençais par lui lécher le clito puis je relevais ses jambes en les plaquant contre elle, mon sexe dure s’enfonçant dans sa chatte humide au rythme de mes mouvements du bassin, l’excitation fut à son comble quand elle me caressa doucement les testicules et je jouis en elle (avec une capote cette fois-ci) dans un râle bruyant. Je mis du temps à reprendre mon souffle, Agnès s’en moqua gentiment.

Puis, lorsque je repris un souffle normal, elle m’annonça qu’elle avait fait un dépistage après notre épisode sans protection et on lui avait trouvé une MST qui pouvait rendre stérile si ce n’était pas traitée suffisamment tôt. Elle était certaine que cela venait de moi. Ce n’était pas la première fille avec qui j’avais fait l’amour sans capote ou avec une capote percée, j’avais fait un autotest pendant l’été qui s’était avéré négatif mais j’avais récidivé après donc ce n’était pas impossible. Cette fois-ci je devais donc faire un dépistage en laboratoire après avoir rencontré mon médecin sauf que je ne me souvenais plus exactement le nom de la MST donc dans le doute je fis plusieurs tests. Lorsque je reçus le résultat négatif je fus soulagé et je l’envoyai à Agnès qui me dit que la MST en question n’était pas prise en compte dans le test. Je retournai donc chez mon médecin qui m’apprit qu’il fallait faire un examen visuel avec un expert pour dépister cette maladie. La douche froide.

Ainsi je me retrouvais la bite à l’air avec un docteur qui palpait mon gland en l’examinant sous tous les angles avec une loupe… Cela dura à peine quelques minutes mais ce fut comme une éternité. Lorsqu’il m’annonça que je n’avais rien je fus à la fois rassuré et énervé. J’avais l’impression qu’elle m’avait pris pour un con, je l’avertis du résultat sur un ton sec et mis fin à notre relation.

La michtoneuse et le pigeon

Lors d’une soirée à l’alimentation générale avec Vincent, je rencontrai une nana assez classe qui m’annonça rapidement que sa carte bleue ne fonctionnait pas et qu’elle avait soif. Le gros pigeon qui roucoulait en moi lui offrit donc un verre puis un autre et encore un en espérant en contrepartie un autre échange de liquide. Mais elle n’était pas facile à cerner, soufflant le chaud et le froid, excentrique et snob. Je n’avais toujours pas réussi à l’embrasser lorsque je la vis s’apprêtant à partir avec sa copine. Je parvins à l’intercepter et elle me laissa miroiter que l’on pourrait rentrer ensemble si je récupérais mon manteau à temps. Je me précipitai donc au vestiaire en disant à peine au revoir à Vincent et je les rejoignis dehors.

A ce moment entra en jeu « la meilleure amie » qui s’avéra souvent être mon pire ennemi pour la drague à coup de culpabilisation de sa copine et de dénigrement du dragueur du style « Tu ne vas tout de même pas rentrer avec ce type ». J’essayais de défendre ma cause mais l’attaque était rude. Finalement elles s’en allèrent ensemble et je me retrouvai seul. On bougea ensuite avec Vincent au café Charbon juste à côté. A peine vingt minutes plus tard, la nana essaya de me joindre au téléphone puis me laissa un message en me demandant de venir chez elle maintenant, elle avait envie d’être dans mes bras. Je lui répondis deux minutes après pour lui demander son adresse, elle me fixa un ultimatum impossible pour la rejoindre avant qu’elle s’endorme donc ça se termina en faux espoir. Beaucoup se seraient sans doute arrêtés là mais pas moi. En mettant de côté mon orgueil pour supporter plus facilement le risque de se faire rejeter en draguant j’avais aussi baissé mon seuil de tolérance.

Donc je lui proposai d’aller boire un verre en semaine, espérant concrétiser cette fois-ci. Et ça commença plutôt bien car sa carte fonctionnait, elle m’offrit même la première tournée. Je payai la suivante puis on alla dans un autre bar de la rue faubourg Saint Denis qui ressemblait au café chéri avec un babyfoot en plus : le Mauric7. Petit à petit je commençais à découvrir son caractère excentrique avec des avis très tranchés à la limite de la caricature. Elle jouait la fille blasée qui avait tout vécu à vingt-cinq ans, ça en devenait comique. D’ailleurs on se mit à discuter avec nos deux voisins de comptoir et par un malentendu assez incompréhensible, elle les prit pour un couple gay en truffant la conversation de stéréotypes. Les compères jouèrent le jeu pour se moquer, c’était gênant.
Puis elle croisa une copine avec qui elle parla un bon moment sans même me présenter alors que j’étais à côté. On finit par sortir dehors fumer une clope et là, ce fut le bouquet final. Elle discuta avec d’autres types comme si je n’existais plus. Je n’en croyais pas mes yeux, j’observais la scène pendant de longues minutes puis je pris congé d’un ton sec qu’elle remarqua à peine. Sur le chemin du retour j’étais enragé, ça me rappelait la scène du Memphis, je lui envoyai un texto missile en lui disant d’aller se faire foutre avec ses histoires à la con et qu’elle était un vrai cliché. Elle essaya de m’appeler sans succès dans la nuit puis me présenta ses excuses par texto le lendemain matin. Je fus surpris par son ton modeste, sobre. La nuit porte conseil. J’acceptai ses excuses et lui proposai même de se revoir n’aimant pas le goût d’inachevé. Elle n’était pas contre mais on n’arriva pas à trouver un créneau et elle finit par ne plus donner de nouvelles.
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