Afficher un message
 
Vieux 01/11/2020, 16h58
stephub stephub est déconnecté
Nouveau Membre
 
Date d'inscription: mai 2020
Messages: 43
Par défaut

Dragues à l’étranger

Europe centrale avec Christophe

Quelques jours plus tard, au mois de novembre, je partis seul à la découverte de l’Europe centrale en train. Tout d’abord en Autriche sur les traces de mon écrivain préféré Stefan Zweig à Salzburg puis à Vienne. Ensuite direction Prague, Bratislava et enfin Budapest où Christophe me rejoindrait pour le week-end final.

Le voyage se passa bien, je contemplais les magnifiques paysages de la région de Salzburg avec des montagnes majestueuses surplombant des lacs immenses en étant confortablement installé sur un siège ou pendant des balades à pied. Les trajets en train étaient également propices à la méditation et à la lecture mais la solitude du soir devenait pesante. Arrivé à Prague, je me motivai à essayer de faire des rencontres. Tout d’abord dans un bar typique en m’adressant à mes deux jeunes voisines attablées à côté de moi. On discuta pendant un bon moment puis elles s’en allèrent après m’avoir donné quelques bonnes adresses. Suivant l’exemple de Thibault, qui m’avait raconté s’être servi avec succès de Tinder pendant un voyage en Amérique du Sud, je réactivais mon compte. Comme j’avais tout compris avec Free, le réseau 4G dans toute l’Europe me facilita la connexion. Je découvris les profils des nanas de Prague, c’était amusant même si finalement assez similaire à Paris avec une préférence pour les françaises !

N’étant là que le week-end, je le précisais dans mon descriptif en anglais pour éviter les malentendus et je lançais des hameçons en espérant que la pêche serait bonne. Le lendemain j’avais un match avec une russe du nom de Lola en vacances à Prague avec une copine. Au début je crus à une arnaque car elle était très jolie sur les photos et son nom me surprenais pour une russe mais notre discussion me rassura. On s’échangea nos numéros et je lui proposai d’aller boire un verre le soir-même dans un bar dansant au style rétro des années soixante que m’avaient conseillé les deux praguoises rencontrées la veille.

Je la retrouvai à l’entrée avec sa copine, elle était aussi jolie dans la réalité que sur ses photos. On rentra à l’intérieur et rapidement elle me fit comprendre d’un ton ironique et hautain que le lieu ne lui convenait pas. Son attitude tranchée me fit penser à Irina et ça n’était pas pour me déplaire, c’est sans doute un trait de caractère assez répandu chez les femmes russes. L’expérience m’apprit qu’il ne fallait pas trop s’en émouvoir, mieux vaut assumer ses goûts quitte à parfois déplaire plutôt que de s’incliner et donc décevoir. Elle trouva la musique ringarde mais je l’invitais quand même à danser histoire de créer de la complicité en la séparant de sa copine. C’était plutôt encourageant, puis on rejoignit son amie qui commençait à s’ennuyer. Histoire de me rattraper je leur proposais d’aller dans un club qui était recommandé par le Guide du Routard. Bien mal m’en eut pris, c’était une boîte glauque où tous les groupes de touristes mâles et bourrés se retrouvaient dans l’espoir de chopper. La musique électro était sans mélodie et le son était trop fort. Malgré tout je ne me dégonflais pas et leur offris un verre puis j’invitais Lola sur la piste de danse. Après quelques pas en décalage complet avec la musique, je la serrais dans mes bras et l’embrassais enfin. Ensuite elle retourna voir sa copine qui en avait marre de la soirée donc on finit nos verres et chacun rentra chez soi. Heureusement il nous restait encore un jour pour conclure.

On se vit le lendemain soir, seulement tous les deux cette fois-ci. Après avoir bu un cocktail dans un bar, on sortit dehors, je la dirigeais à pied vers mon quartier comme si de rien n’était. En arrivant au bas de mon immeuble je lui proposai de me suivre et elle accepta. On entra dans ma chambre, elle défit ses bottines et je l’allongeai sur le lit. Puis je la caressais en la déshabillant doucement. Je pris mon temps, elle commença à émettre des gémissements de plaisir lorsque je la pénétrais. Je la regardais se contorsionner, cachant sa tête sous l’oreiller par pudeur mais je le lui enlevais en la rassurant avec des caresses sur ses seins, ses cheveux. Elle planta ses ongles dans mon dos tandis que mon sexe dur s’enfonçait dans son vagin humide puis vint la jouissance finale. On resta ensuite longtemps serrés l’un contre l’autre sachant que le temps nous était compté. Au milieu de la nuit elle prit une douche et retourna à son hôtel en taxi car elle partait tôt le lendemain matin.

De mon côté je continuais mon périple en faisant un arrêt rapide à Bratislava sans grand intérêt puis je retrouvais mon compère Christophe à Budapest pour quatre jours. On découvrit les immenses bars underground de la capitale, bondés de touristes, avec de nombreuses salles aux décors dignes d’un lieu de tournage et qui occupaient parfois un immeuble entier. On tenta quelques approches sans trop de succès donc je réutilisais mon appli Tinder et ça marcha. Je matchais avec une hongroise qui parlait bien anglais, elle bossait dans l’équipe d’organisation du grand festival de musique Sziget. On se donna rendez-vous le lendemain en milieu de soirée, Christophe m’accompagnait et elle était également avec des amis. On se retrouva dans un bâtiment qui contenait plusieurs clubs de styles de musique variés, il y en avait pour tous les goûts. On discuta tout d’abord dans un bar à l’entrée puis elle nous emmena dans un club qui passait du rock Indie. Là, je déployais tous mes talents de dragueur diplômé sur piste de danse et l’étau se resserra petit à petit. Lorsque je parvins à l’embrasser langoureusement, elle me confia avoir eu deux ex français qui n’embrassaient pas aussi bien : l’honneur de la France était lavé !
Christophe était déjà parti depuis un moment lorsque l’on décida de s’en aller. Heureusement notre appart était sur le chemin de la hongroise donc cela me laissait un peu plus de temps pour la convaincre de finir la nuit ensemble. Elle me rétorqua qu’elle n’était pas pour les coups d’un soir mais je sentais qu’elle m’appréciait donc je m’accrochais. Finalement je ne descendis pas à mon arrêt de bus prétextant que je préférais la raccompagner jusqu’à chez elle pour sa sécurité. Lorsque nous arrivâmes à son immeuble, elle céda à la tentation.

C’était un peu le foutoir dans son appart mais j’étais bien mal placé pour donner des leçons. Elle mit la musique d’Amélie Poulain dont nous avions parlé pendant le trajet puis elle s’approcha de moi, je l’embrassais tout en la déshabillant. Je la pris debout contre sa cuisine puis on continua au lit. Elle était bien foutue avec de beaux seins arrondis et de jolies fesses bien rebondies, on baisa pendant un moment. Puis, comme je mettais du temps à jouir, je me tournai sur le dos et elle se mit sur moi, je l’aidais dans ses mouvements de haut en bas en appuyant mon bras sur son épaule pour que mon sexe s’enfonce profondément en elle et je finis par éjaculer. De retour le lendemain matin à l’appart, j’étais tout fier devant Christophe. Il était désormais temps de rentrer.
Réponse avec citation