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Vieux 26/09/2020, 13h46
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I love America

Heureusement il était facile d’oublier ces histoires à Paris en passant à une autre, surtout en cette saison. Dans la même semaine, nous étions avec Christophe et Thibault au Comptoir Général lorsque je repérais une jolie blonde toute seule qu’ils m’encouragèrent à aller voir. Je suivis leur conseil et vins à sa rencontre en lui demandant tout simplement ce qu’elle faisait là. C’était une américaine en mission de quelques semaines à Paris pour un reportage télé. Ce bar devait être bien noté dans les guides touristiques car on y croisait beaucoup d’étrangères de passage. Grâce encore à mon niveau d’anglais, j’arrivais à maintenir une conversation intéressante et la confiance s’installa. Je m’enhardis en laissant trainer ma main sur sa cuisse tandis que nous discutions et voyant qu’elle laissait faire je l’embrassais, parcours classique mais toujours plaisant.

On sortit ensuite prendre l’air en marchant au bord du canal Saint Martin, c’était romantique et je ne manquai pas de lui faire découvrir la vue sur les écluses en haut d’une passerelle. J’en profitai pour la coller à moi en frottant doucement mon genou contre son entrejambe tout en lui faisant un bon french kiss. Le désir monta et pour ne pas troubler l’ordre public on rentra chez moi à l’abri des regards. Après l’effeuillage elle me suça sur le canapé puis monta sur moi sans capote, mon excitation était trop forte pour être contrôlée, je lui demandai juste si elle prenait la pilule et à peine eut-elle le temps d’acquiescer que je jouis en elle. Ce ne fut pas la première ni la dernière fois que je couchais avec une inconnue sans capote malgré les risques, c’était très con mais ma raison avait tendance à s’incliner dans ce genre de situations face à ma libido impatiente.

On se retrouva plusieurs fois pour faire des galipettes dans son appart Airbnb en plein centre de la capitale, c’était une fille enjouée, curieuse, sexy et torride au lit. Je fis mon premier 69 avec elle et, perdu pour perdu, on continua de baiser sans capote.

Argentina en Paris

Finalement on était restés en contact avec Lucia et, pendant une période où je me sentais seul, je lui avais proposé de venir me voir en France. On s’était finalement mis d’accord sur deux semaines au mois d’août. Même si j’étais très content de la revoir, je dois avouer que je regrettais d’être monopolisé pendant cette période bénie pour la drague à Paris. Mais qu’importe, autant profiter de sa venue et puis c’était une manière de la remercier de son accueil tendre et chaleureux à Buenos Aires. Donc je lui fis visiter un maximum d’endroits emblématiques de Paris et ses alentours ainsi que des régions typiques de la France comme la Bretagne et l’Auvergne.

On s’entendait très bien et on commençait à bien se connaître sur tous les plans. Elle était toujours disponible et enthousiaste tout en s’adaptant à mon caractère pensif et à mes silences. La veille de son départ on s’enfila chacun deux pintes de Chouffe à l’heure de l’apéro et les effets planants se firent rapidement sentir. On retrouva mes potes Vincent et Christophe sur le toit de la Nuba mais nos pensées étaient ailleurs, on avait très envie l’un de l’autre. N’y tenant plus, on quitta la soirée précipitamment pour aller dans notre chambre d’hôtel situé sur une péniche juste à côté, nous l’avions loué pour notre dernière nuit ensemble à Paris. Une fois arrivés, Lucia me dit qu’elle avait envie de me lécher sur tout le corps puis me demanda crûment de la baiser fort. Par docilité intéressée je la pénétrais fermement par derrière en lui attrapant les cheveux d’une main et en faisant claquer l’autre sur ses fesses. L’instinct animal prenait temporairement le contrôle du corps avec le consentement de la raison pour assouvir des pulsions sexuelles puis, lorsque la tension redescendrait après l’échange des fluides, la raison reprendrait sa place presque comme si de rien n’était. C’est un équilibre à trouver avec le temps, au gré des expériences et qui ne sera probablement jamais parfait mais moins dommageable que de nier ses pulsions.
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