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Vieux 16/09/2020, 21h36
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Je les voulais toutes

J’étais triste quand Maria rentra au Brésil mais de l’autre côté je mesurais la chance de l’avoir rencontrer et surtout j’étais fier d’avoir eu le courage de l’aborder car sinon il ne se serait rien passé comme beaucoup de soirées avant. Si seulement j’avais pu m’en rendre compte plus tôt : quel temps perdu ! Tant pis, à ce moment j’étais bien décidé à en profiter au maximum et de saisir toutes les opportunités qui se présenteraient : j’avais envie de baiser toutes les nanas de la terre !

La prochaine occasion serait quelques jours après, en fin de semaine. Avec Vincent on participait à un cours de rock gratuit en plein air près de la Seine. Les tandems mixtes se succédaient et nous, les mecs, avions l’avantage d’être en nombre inférieurs à la demande. Je fis la connaissance de Charlotte, une petite gabonaise à la silhouette bien dessinée, on sympathisa pendant que nous effectuions les pas de danse en échangeant des regards complices. Puis je l’invitai à prolonger la soirée autour d’un verre sur les quais avec Vincent qui nous laissa ensuite tous les deux. La discussion se dirigea vers des sujets plus intimes et je lui confiai ne pas être intéressé par une relation sérieuse pour le moment. Elle sembla un peu déçue mais pas pour autant rebutée, je pris donc confiance et répondis franchement à ses questions pour expliquer mes raisons tout en lui montrant régulièrement mon intérêt pour elle. Puis on déambula le long de la Seine et je commençais à faire des allusions subtiles pour l’inviter chez moi. Elle faisait mine de ne pas y prêter attention mais je sentais qu’elle n’était pas insensible à ma proposition. Lorsque l’on s’arrêta à un carrefour pour guetter un taxi, je me fis plus entreprenant et elle accepta de rentrer avec moi. Une fois arrivés à mon studio on passa à la vitesse supérieure mais étrangement je n’arrivai pas à bander. Pourtant je n’avais pas trop bu, je ne comprenais pas pourquoi. Heureusement elle ne le prit pas mal et je n’étais pas trop stressé pour la suite donc on s’endormit tranquillement l’un contre l’autre. Je me réveillai dans la nuit avec le sexe dur et comme Charlotte ne dormait pas non plus on reprit nos affaires là où elles s’étaient arrêtées. A la fin je lui glissai malicieusement : « maintenant on peut dormir ».

Charlotte était couchée sur le côté en portant une simple culotte et j’observais avec envie les formes de son corps, ses petites fesses fermes et bien galbées attisaient mon désir brûlant. A son réveil je n’y tenais plus, je la pris vigoureusement en levrette, elle m’exprima sa satisfaction d’un commentaire sans ambages : « elle est bonne ta bite ». Alors là mon orgueil se gonfla comme mon sexe et je lui en fus reconnaissant car ce n’était pas fréquent de recevoir ce genre de compliment d’une fille, soit par pudeur ou par fierté ?
On se retrouva le dimanche pour une balade aux buttes Chaumont sous un beau soleil d’été. Charlotte me fit un massage bien agréable allongé dans l’herbe au milieu de la foule puis on alla chez moi. Aussitôt arrivés, elle défit mon pantalon et se mit à genoux pour me sucer avec ardeur. Je prenais énormément de plaisir et cette fois-ci j’étais capable de le faire durer, c’était tellement bon, je lui caressais la tête et ses fesses en échappant des râles de plaisir tandis que ses lèvres humides pressaient langoureusement mon sexe jusqu’à la jouissance finale : j’étais au comble de l’extase ! Après ça ce fut à mon tour de lui donner du plaisir : je la pris dans tous les coins de la pièce. Je sentais que j’avais passé une nouvelle étape.

On se revit régulièrement jusqu’à ce que je m’envole pour les fêtes de Bayonne avec mon inséparable Vincent et d’autres amis.
C’était une ville pittoresque dont le charme était renforcé pendant les fêtes par ses nombreuses peñas accueillant l’immense foule habillée de blanc et de rouge. Quelques jeux enfantins comme le ski bouteilles ou l’escalade de poteau sous une pluie de bouteilles en plastique contribuaient à la bonne humeur sans virer à la débauche dans l’ensemble contrairement à ce que j’avais pu entendre parfois.

Notre âge intermédiaire et notre bourse plus garnie nous incitèrent à privilégier avec mes amis la tournée des peñas plutôt que de rester dans les parcs de la ville à picoler avec les plus jeunes. Nous partagions un appartement avec Vincent et un autre ami dont nous avions également accepté d’héberger son frère et sa cousine. Cette dernière était une jolie rousse d’Angleterre plus jeune que nous de plusieurs années. Je n’avais pas de vues sur elle mais lors d’une soirée bien arrosée où l’on se perdit de vue dans la foule avec mes amis, je la retrouvai par hasard et on décida de rentrer ensemble. Je concède ne pas avoir trop insisté pour rechercher les autres en ayant une autre idée derrière la tête. On discuta sur le chemin du retour en se rapprochant progressivement et nous arrivâmes les premiers à l’appartement : l’occasion était belle donc je prolongeais la discussion pour finalement l’embrasser. A ce moment la sonnette sonna, c’était Vincent qui rentrait seul et suspendit temporairement notre mise en bouche le temps de se raconter notre soirée et de faire mine d’aller au lit. Puis lorsque Vincent se coucha, je me mis à fouiller discrètement dans mes affaires pour récupérer une capote et je filai à l’anglaise dans le salon. Pour éviter de réveiller Vincent par nos ébats on trouva refuge dans la salle de bain. Je n’étais même plus étonné par les heureuses rencontres que je faisais depuis quelques semaines, cela me semblait naturel mais toujours aussi appréciable.
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