Le véganisme est rendu possible par la tertiarisation, la mondialisation et l'ubérisation. C'est le système capitaliste de nos sociétés occidentales post-industrielles, qui le permet. La compensation de carences nutritives est possible grâce à l'importation massive et les flux de communication. Concernant le B1 et l'exemple des noix, je mets au défi quelconque végan de dénicher des noix comestibles et pleinement nutritives au fin fond de la Californie, de l'Ardèche ou de la Provence.
Choisir précisément sa diététique, c'est là le luxe, et non la majorité.
D'un point de vue biologique, historique et anthropologique : l'humanité est omnivore.