Citation:
Envoyé par Ohyeah
Pour 1 femme qui aimera son mari père au foyer, 99 lui chieront sur la gueule car il n'a plus rien d'un homme.
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Mais là, il s'agit de ta perception.
En quoi changer les couches, faire le menage ou que sais-je te rend moins homme? Moins viril? Moins masculin?
Cette perception était dominante y a encore 50 ans, voir 30 ans mais aujourd'hui tout semble à croire que tout cela a changer et/ou est en train de changer.
Toi qui traines souvent sur Reddit, va voir les threads de stayathomedad.
Citation:
Envoyé par senechat
Je pense que vous VOULEZ être des providers parce que l'argent représente l'une des formes de dépendance la plus sévère pour une femme (au foyer entre autre) et que vous n'assumez pas de n'a pas être socialement "l'homme de la maison" Et sécuriser un éventuel départ de votre partenaire.
Vous voulez vous convaincre que c'est ce qu'on veut mais je pense que c'est ce qui vous rassure.
Et ça met en lumière ce que je pense sur les femmes trop independantes et ayant un style de vie confortable/plus confortable que l'homme. Vous n'avez plus ce pouvoir et ça fait peur.
Je pense que ce n'est pas le fait qu'ON vous voit récurer le sol qui pose problème. Le problème c'est que VOUS avez peur de ne plus avoir de moyens de pression sur votre partenaire.
On est juste l'excuse.
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J'en suis venue aussi à cette conclusion.
Il est toujours plus facile pour n'importe quelle problématique de pointer les points bloquants des tiers que de regarder ses propres faiblesses et bousculer ses propres croyances. C'est un schema recurrent qui s'observe dans tous les bouleversements sociétaux de ces dernières années.
Tout est une question d'équilibre.
Si une femme gagne bien sa vie, est indépendante et fait du 7/22h, elle ne se tournera pas vers un homme qui est aussi acharné au boulot qu'elle, si elle souhaite fonder une famille. Et inversement, une femme qui est plus dépendante (traditionnel si vous preferez), moins carrieriste, se reposera sur un homme pour ramener la calorie. Les deux sexes se reposent plus sur la complémentarité que sur un rapport de force constant.