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Vieux 01/05/2020, 18h04
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Le capitalisme à tué le couple au nom de l'émancipation de la femme : La femme étant une meilleure consommatrice que l'homme il a fallu faire d'elle un être "indépendant" pour qu'elle consomme .
De plus c'est une main d'oeuvre bon marché.
Puis il y a aussi une chose que j'aimerai souligner, c'est le paradoxe de l'hypergamie féminine :

Elles veulent d'un coté ne pas avoir besoin d'un homme, être indépendantes etc. mais paradoxalement ont un comportement hypergame (du à leur émancipation depuis le dernier siècle et cela de plus en plus jeune) et sont attirées par un homme fort, grand, riche, beau et élevé socialement. Bien entendu, en fonction des femmes, de leur culture et leur éducation, l'hypergamie est plus ou moins présente néanmoins elle existe bien.

Dans la mesure où les hommes sont perçus comme les détenteurs du capital financier et des revenus les plus importants (ce qui est faux, ou du moins à fortement nuancer, mais néanmoins ancré dans les mentalités), ce sont généralement les femmes qui pratiquent l’hypergamie.

Pour comprendre cela c'est simple : Autrefois, l’hypergamie se traduisait par le fait, pour une femme, d’épouser un homme généralement un peu plus âgé qu’elle et déjà matériellement installé, à même d’assurer son entretien et celui de leurs enfants. Dans la société ultra-libérale sur le plan des mœurs qui est la nôtre aujourd’hui, l’hypergamie se traduit par une forte tendance à passer d’un conjoint à un autre au gré des opportunités et de l’intérêt que chacun suscite : il ne s’agit plus de former des couples stables ni des familles économiquement viables, mais bien de tenter d’obtenir un maximum de sa propre "valeur marchande sexuelle".

Comme disait le diplomate américain Henry Kissinger : "Le meilleur aphrodisiaque pour une femme c'est la puissance, le pouvoir."
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