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Envoyé par Péitho
J'ajouterais l'âge dans l'équation. Le potentiel prime, jusqu'à ce que le statut réel soit le facteur prépondérant ?
Que fait-on quand la norme est de penser pouvoir déconstruire/reconstruire ces valeurs ? La valeur "survie" et même la valeur "reproduction" vues comme les résultantes d'un système oppressif (oppression systémique) ?
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C'est le fléau du féminisme 4.0., des LGBTQI+ et autres SJW, séides du Grand capital. Que fait-on ? Là est la question fondamentale. Mais une chose est certaine : on ne peut plus se permettre de les ignorer : ils sont désormais trop bruyants et puissants, ayant l'appareil État et économique de leur côté.
Pour en revenir à la question de départ : le déclin de la civilisation occidentale mondialisée, à grand renfort de sociétés gynocentrisées ( effeminées / émasculées ; allant vers toujours plus d'indifférenciation du consommateur, à travers un nivellement par le bas ), va assurément accroître l'infidélité en la légitimant. Il faut détruire la famille et, par ricochet, la construction de l'individu. Afin de produire un être névrosé qui consomme sans pareille. Bien sûr, malgré une irresponsabilité croissante des hommes ( qui participe aussi de leur émasculation, en en faisant d'éternels adolescents soumis à leurs pulsions ), c'est l'infidélité féminine qui sera plébiscitée par le système. Girls' power, libération sexuelle, toussa toussa...vous comprenez. Rien de plus efficace, dans le processus de destruction de la communauté, qu'une société sans papas fixes.