Senechat : Justement, ce n'est pas une torture constante que je vis. Quand je suis en plein dans mon travail, j'adore ça, je ne vois pas le temps passer et j'ai conscience que ça m'est vraiment important. C'est lorsque je sors de ce cadre que mes doutes reviennent en masse. Par exemple, lorsqu'après plusieurs jours de travail, je me retrouve dans un apéro avec des gens que je ne connais pas, je me sens en sacré décalage avec eux car j'ai perdu mes réflexes sociaux puisque je les travaille moins ( sachant que je suis très peu doué de base ). Et ça me mine moral. A bien y regarder, mon problème pourrait être moins important que ce que je crois, comme tu le suggères ; il s'agirait peut-être de revoir mon organisation, mais je suis tout de même certain d'une chose : mon projet nécessite d'être bouclé le plus vite possible car je suis dans une situation précaire financièrement. J'en veux sûrement trop d'un coup.
Oncle-Barney : Mon choix est totalement volontaire, nul ne me l'a imposé. Mais je n'en avais pas totalement pris la mesure, effectivement. Ma situation ne me laisse d'autre choix que de continuer dans cette voie, avec pour seul compromis une organisation plus light, mais comme je l'ai dit à Senechat, mon projet doit aboutir assez vite. Je n'aurais sans doute pas eu cette contrainte de temps si j'avais poursuivi mes études.
Le Yel' : Je m'accorde au moins une sortie par semaine, ne t'en fais pas
. Mais durant ces sorties, je fais rarement de nouvelles rencontres hélas. Je devrais davantage saisir ces occasions, quoique pas évident, il faudrait que je retravaille mes réflexes sociaux, mais comment faire lorsqu'on ne peut pas sortir régulièrement ?
Victor Newman : Parce que je l'aime. J'ai entretenu une fantastique relation classique ( toujours avec infidélité physique tolérée ) avec elle, c'est depuis la distance que les choses vont moins bien. Je lui en ai parlé, mais elle n'a pas l'air prête à entamer une relation exclusive. J'attends de voir jusqu'où je supporte la situation.