Il est dommage d'avoir supprimé le message initial.
Concernant certains avis donnés ici je suis étonné. Avez vous vraiment fait perdurer des relations en tolérant une telle tromperie manifeste ?
Pour rappel il fut un temps où la simple intention de tromper constituait un motif de divorce pour faute, la responsabilité financière incombant au conjoint adultère.
Il s'agit pourtant de bon sens élémentaire, et personne ici ne saurait attester qu'il n'y pas eu de tromperie vu la promiscuité que la demoiselle entretient manifestement avec le sexe de son interlocuteur.
J'aimerai en fait savoir comment on pourrait gérer de tels cas autrement qu'en faisant l'autruche.
Une discussion, oui, mais avec quels arguments logiques.
Dernière modification par Victor Newman ; 13/09/2019 à 10h45
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