Non elle m'a pas envoyé chier, elle n'a juste pas compris ce qui était en train de lui arriver, c'est bien de ça que je parle. ^^ (enfin la réponse est dans mon message d'avant mais comme on l'a écrit en même temps, il se peut que t'ai pas eu le temps de le voir)
J'étais parti faire un tour dans le centre commercial pour aller m'acheter un livre, rien de plus. Et je l'ai aperçue sur un banc. Mais ce n'est pas grave, selon vous je suis un "rôdeur", ou "en chasse". Voyez, vous me reprochez beaucoup de faire des suppositions sur l'origine de sa réaction (alors que je l'ai eue en face de moi et que je l'ai vécue, cette interaction... j'ai donc une légitimité pour faire des suppositions que vous ne pourriez pas). Mais à côté de ça, ça ne vous gêne pas de supposer des choses (fausses, pour le coup), sur moi, sans avoir rien vu.
Enfin bref, je vous rejoins tout de même sur le fait que ça ne sert à rien de débattre des heures là -dessus. Vous avez entièrement raison quand vous dites que je sur-réagis à un non-événement et que je devrais m'en foutre, ça c'est clair. Mais ce que j'essaye de vous dire, c'est que ce qui m'a gêné c'est pas sa réaction vis-à -vis de "moi" ou de ma propre personne qui aurait touché mon égo... c'est vraiment : son conditionnement face au fait qu'une personne puisse l'aborder. Par moi ou un autre, sur un banc ou ailleurs, par une phrase ou une autre : on s'en fiche, c'est pour ça que je vous dis que le coeur du sujet n'est pas moi, mais bien l'état d'esprit et le côté "fermé" et "seules les personnes que je connais ont le droit de me parler", cette espèce de mentalité de campagne.
Enfin bref, inutile de continuer, j'ai bien compris votre point de vue là -dessus. Je souhaiter simplement éclaircir un peu le problème tel que je le voyais.