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Vieux 15/07/2019, 16h35
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Date d'inscription: décembre 2018
Localisation: À Balbec, ou quelque part dans l'Italie de la Dolce Vita de Fellini.
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Par défaut Des dégâts occasionnés par la « libération » sexuelle à la femme.

Bonjour !

Selon mon postulat, la fameuse « libération » sexuelle que le féminisme claironne serait en réalité un nouveau geôlier pour la femme. Pourquoi donc ?

À mon sens, le corps féminin n’étant pas biologiquement constitué pour recevoir en lui de nombreux partenaires sexuels, une certaine quantité de rapports altérerait la psyché de sa détentrice. Car la femme est par nature un être à dominante « émotionnelle », elle ne peut par conséquent s’empêcher de s’attacher, de s’engager sur ce plan avec le moindre partenaire — fut-ce la relation aussi fugace et légère que possible.

Il se trouve que la plupart des individus de sexe féminin biberonnés au discours de propagande féministe tentent de se voiler la face par la défense suivante ( aussi classique que futile ) : « Je fais ce que je veux de mon corps. Je fais comme les hommes. » Non, ma cocotte. En vérité, je suis au regret ( cynique ) de devoir te dire que tu ne disposes pas totalement de ton corps. Celui-ci a une mémoire, un vécu, des expériences…qui lui sont propres. De la sorte, lorsque tu coucheras avec un inconnu tout en croyant pouvoir l’ « oublier » et ne pas être liée à lui par la suite, tu te fourvoieras. Parce que ton corps lui, ne l’oubliera pas, et demeurera lié à lui. Tes récepteurs olfactif et gustatif conserveront le souvenir du goût et de la texture de sa chair, ainsi que de la teneur de ses hormones et de sa flore bactérienne. Ton subconscient et/ou ton inconscient se remémoreront son contact. Ton utérus ( et donc les micro-organismes le peuplant ) collecteront son liquide pré-séminal ( si rapport protégé au biais d’un préservatif ) ou son sperme ( si rapport non-protégé ), dont la marque génétique sera transmise à ton cerveau reptilien. Enfin, et non des moindres ; comme tu es un être à dominante émotionnelle, tu te sentiras possédée par lui ( un rapport, même dénué de sentiments amoureux, crée une connexion émotionnelle ).

Cette pratique sexuelle débridée et le déni qui l’accompagne engendrent à terme des symptômes pathologiques : dépression, perte d’estime, anxiété, perte de plaisir/désir sexuel, nymphomanie et addiction, insatisfaction chronique due à la comparaison systématique entre le nouveau partenaire et ses prédécesseurs… ). Sans omettre les conséquences sociologiques : la perte de valeur sociale aux yeux des hommes ( je pourrais développer cette partie ultérieurement ). Je pense en effet que la civilisation occidentale a évolué plus rapidement que l’humanité ; en ce sens où 300 ans d’industrialisation, de libéralisme et de capitalisme, ainsi qu’environ 100 ans de féminisme ne suffisent pas à inverser une tendance née de 4 millions d’années d’évolution biologique ET 2 000 ans de conditionnement social ( paradigme, épistemè, cosmogonie ) — il a de surcroît été scientifiquement démontré que la mémoire se diffuse, à certains égards, dans l’ADN et se transmet ainsi, non plus tel qu’il était cru seulement par la culture, mais aussi par la filiation. Donc, dans 1 000 ans ( comme tout va toujours de plus en plus vite de nos jours ), si l’Occident ( que dis-je, le monde ; puisque la mondialisation est d’abord une occidentalisation ) continue sur cette lancée de FÉMINISME CAPITALISTE, il est fort probable que le phénomène que je dénonce ici disparaisse, car le corps aura eu le temps de s’y adapter. Mais pour l'heure, l'on ment aux femmes : coucher à tout va endommage leur équilibre émotionnel et nuit à leur cerveau.

Partant, je pense également que si le mâle humain est ainsi fait pour avoir la capacité de pénétrer ( et, théoriquement ) féconder une plus grande quantité de femelles que celle que ces dernières sont à même de recevoir d’hommes en elles, ces multiples épanchements causeront pour lui aussi, in fine, des dégâts psychologiques irréversibles. Cela expliquerait en partie les questionnements existentiels de tant d’anciens séducteurs qui, une fois parvenus à mi-chemin et/ou au crépuscule de leur vie, se sentent totalement désorientés dans leur approche des mécaniques sociales.

Étant sur un forum de séduction, je considère qu’il nous est important d’étudier ce sujet afin de, s’il s’avérait probant, s’assurer de protéger nos membres de ce phénomène. Car nous en sommes responsables, par la manière dont nous influençons la vie sexuelle de notre communauté à travers la transmission d’une conception consumériste des relations charnelles. Il s’agit là d’une véritable question philosophique et anthropologique !
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« (...) Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. »