+ 1 milliard avec ce que Don Diego a dit ; c'est juste que les femmes qui pleurnichent sur ça n'assument pas. Tu es trop excitée, Limonade. L'émotion tue la réflexion.
Pour répondre à cette question de LoLa :
(Quoi que je ne sais pas fondamentalement pourquoi ça dérange qu'une fille ait été avec beaucoup d'hommes, je ne suis pas un mec)
Pour moi, cela ne vient pas d'une quelconque construction sociale, au sens des bonnes moeurs. Mais de la biologie, de la nature elle-même. Une femme qui baise à tout va = incertitude sur la paternité = progéniture potentielle non-désirée ( aucun homme ne veut en assumer la responsabilité/protection/éducation s'il doute en être le géniteur ) = descendance vulnérable = survie de l'espèce humaine menacée. La femme est le pilier de la culture, de la civilisation, de la pérennité de l'espèce humaine par son pouvoir reproductif. Qu'elle le veuille ou non. C'est elle qui donne vie, qui éduque ( et donc transmet l'Histoire de tout un peuple ). La mère transmet également la mémoire ancestrale des siens à travers l'ADN. C'est pourquoi, de tous temps, le viol a été considéré comme l'une des plus redoutables et efficaces armes de guerre.
Alors oui, on va me dire que de nos jours, avec la contraception, la question ne se pose pas tant. Eh bien, je le pensais aussi, jusqu’à récemment, avec mon ex petite-amie. La science et la médecine ont avancé vite, très vite, trop vite. Plus vite que la psyché, le sub-conscient, le souvenir génétique et le cerveau reptilien des hommes. Si mon intelligence sait que la question de la grossesse ne se pose pas ( et encore, aucune contraception n’est 100% fiable, couplé à cela les circonstances/conditions sanitaires du rapport ), mon sub-conscient lui conserve cette image du sperme d’autrui ( et donc de sa potentielle descendance ), cette trace à la fois symbolique et animale d’un autre homme dans le corps de la femme.
Puis bon, selon ma conception spirituelle, le corps se souvient de chaque rapport sexuel. Chaque partenaire laisse une parcelle d’âme, d’énergie, d’ADN, aussi infime soit-elle. Dans un sens comme dans l’autre. D’ailleurs, quelque part, même si notre mémoire consciente oublie parfois certains des partenaires que nous avons eu au cours de notre vie, notre mémoire sub-consciente elle, ne les oubliera jamais. Ils finissent toujours par ressurgir : rêves/cauchemars, sensations de « déjà -vu », etc…
Mais ça, c’est ma vision.
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