Merci pour vos réponses mais je pense qu'on s'est mal compris. Toute la relation n'était pas centrée sur elle et ce n'était pas ma raison de vivre... Je ne suis pas au fond du gouffre, je ne me dévalorise pas, bref ça va plutôt bien.
Je ne me jette pas toute la faute, je ne fais juste pas son procès, c'est différent. Je crois que ça ne sert à rien de rester dans la rancune dans les relations. Ce qui ne veut pas dire être "nice" ou "trop bon trop con", ça veut dire laisser la porte ouverte mais jusqu'à un certain point. Vous ne inquiétez pas que je sais bien envoyer bouler quand la personne me péte les rouleaux.
Moi je m'occupe de moi et comment m'améliorer. Mais comment faire pour s'améliorer sans reconnaître ses erreurs ? L'autre a aussi bien sur sa part de boulot à faire mais c'est à l'autre de faire. Et ça je verrais bien comment elle fait. Si elle ne le fait pas, ce sera aurevoir.
Toute la difficulté, c'est qu'elle est dans une dynamique négative en ce moment et elle se "protége" en montant un mur (et oui elle a pris de la distance avec d'autres personnes aussi). J'ai connu un cas comme ça avec une amie qui a aussi vécu un burnout. Je peux vous dire qu'elle s'en foutait de tout et que tout lui pesait, compagnon, amis, etc... Et donc ce que je disais, c'est que j'ai peut-être trop insisté à vouloir la bouger alors que ça ne fait qu'empirer le truc en "culpabilisant" une personne qui n'a pas le moral. Et donc ça a ajouté un poids. Ce qui ne veut pas dire que je me considére comme un boulet en général
