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Vieux 02/10/2018, 16h58
pallidum pallidum est déconnecté
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Envoyé par Oimat Voir le message
Tout à fait d'accord avec toi. Le généraliste devrait renvoyer vers un psychiatre au lieu de filer des psychotropes, d'où ma conviction précédente.
Si c'est un bon médecin, il renverra également vers un ORL pour faire des analyses sur la qualité du sommeil.
Il existe bien plus de personnes atteintes de troubles du sommeil que l'on croit, à hauteur de 4% pour les apnées du sommeil.
Elles peuvent avoir une cause psychologique comme une dépression à la italiano, mais sont en général irréversibles, bien que bénignes pendant des dizaines d'années avant de provoquer un vieillissement accéléré des organes.

Se dépister, que ce soit pour le SIDA ou pour le sommeil, c'est bien.
Ah je ne suis pas d'accord dans ce sens là, le recours au psychiatre me semble réservé aux cas difficiles, comme pour les autres spécialistes. Le médecin généraliste est un médecin, et peut (doit) donc faire des diagnostics et proposer une attitude thérapeutique, que l'intervention soit médicamenteuse ou non. Un antidépresseur est réservé aux syndromes dépressifs étiquetés par exemple, et ce traitement peut être proposé. Encore faut il que le diagnostic soit posé, la prise en charge expliquée aux patients et validée dans un climat de confiance, avec bien sur une surveillance de sa tolérance et de son efficacité.

Je déplore un peu que l'attitude de certains médecins ne passe que par l'ordonnance, mais on n'était pas présent pendant la consultation pour voir ce qu'il s'y est dit. Il faut savoir que faire partir un patient sans ordonnance est beaucoup plus chronophage que si il part avec.

Pour le VIH (on dit pas SIDA! Mais peut être qu'une section santé aurait sa place sur ce forum?), là par contre il faut y aller largement sur le dépistage qui reste encore insuffisant, et ne pas hésiter à le réclamer au médecin si il n'est pas proposé. D'ailleurs pour importe quel jeune patient ayant plusieurs partenaires avec un trouble quel qu'il soit mérite son petit dépistage, on n'en fait jamais trop
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