Ce n'est pas du développement personnel dont on est en train de faire le procès ici, mais de ce que la société en fait. Et de comment on intériorise ça. Notamment via le leurre principal selon moi: la quête de la performance (justement parce qu'on est dans une société de la performance, y compris dans la quête du bonheur!). L'exemple est flagrant avec la méditation, où le sens que cette pratique a dans la culture bouddhiste et taoïste est totalement dévoyé par la culture occidentale.
Tant qu'on reste sous l'emprise de ces injonctions, oui, le dev perso en ce sens est voué à l'échec. C'est d'ailleurs la même chose avec la séduction, on le voit bien.
Je propose un autre lien à ce sujet, une
critique de l'happycratie, du tout bonheur. Je partage en partie le constat mais rejette le reste. Pour alimenter le débat donc.