Bonsoir à tous, je viens actualiser la situation
Donc depuis la dernière fois, il y a eu 0 contact. Je suis toujours en reconstruction, je réfléchis activement à ma nouvelle garde robe (c'est d'ailleurs assez prenant), je me suis mis de manière relativement intensive au sport. Avec les gens, je cache totalement ça, je suis souriant, ouvert, la discussion est fluide.
Malheureusement, dès que je suis seul, dans les trajets jusqu'à l'école, avant de me coucher etc.. j'arrive toujours pas à arrêter de penser à elle
Je me décide donc de la bloquer de partout, sauf sms. En le faisant, fausse manip de ma part, je fais quelque chose sur son profil qui lui envoie un notification.
Le lendemain matin, évidemment, elle m’envoie un message me demandant pourquoi j'ai fais ça.
Je réponds pas
Elle relance le soir, de manière assez "agressive", me demandant de répondre.
Après réflexion, je me décide de lui expliquer la vérité, que je la bloquais de partout parce que j'arrive toujours pas à passer à autre chose, et que j'avais fait une fausser manip
Elle me réponds: "ok"
La boulette, c'est le lendemain, j'envoie une "déclaration" en étant bourré, lui disant que je suis plein de regret, que je veux pas l'oublier, qu'elle sera toujours la femme de ma vie. (Il était relativement tôt dans le journée (22h) et c'était en semaine, elle peut pas savoir que j'étais bourré), pas de réponse.
Cela va donc bientôt faire une semaine que c'est arrivé, et depuis niveau moral c'est pas facile. C'est de plus en plus dur de faire l'heureux en face des autres. Je refuse des soirées, je me demande si finalement, le sport, les fringues, je le fais pas un hypothétique retour, lui montrer que j'ai changé, plutôt que le faire pour moi.
Ça va faire 5 mois maintenant qu'elle m'a quitté, j'ai vraiment l'impression de pas avoir avancer. Je passe pas le cap du dénis j'ai l'impression, j'ai pourtant pas l'impression d'être passif dans mon deuil, mais ça veut pas, même si je sais que y'a que ça à faire. J'arrive pas à accepter la situation, et c'est pourtant ce que je voudrais, je la subis, ou je m'y résigne, mais je n'y arrive pas.
Alala, je me pensais vacciner après mon premier amour, j'étais bien naîf
