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Envoyé par Le Yel'
Hum, du coup tu me fais réfléchir. Je ne vais pas troller éternellement le post de la demoiselle, mais par exemple, je suis attaché aux considérations physiques. Et j'estime que je serais plus heureux si je l'étais moins.
Donc j'essaye de travailler dessus. Mais là où j'ai peut être tord, c'est justement de penser que là où je pense être la clef de mon évolution personnelle de trouve etre celle de tout le monde. Et donc, je te rejoins dans ta dernière phrase à toi, et applique ce que pointe du doigts.
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Je trouve ça très intéressant, on est dans la profondeur du dev perso là. On interroge ses impulsions premières pour voir si ce sont des désirs profonds ou si on est guidé par autre chose à dépasser. C'est sain. Mais il faut faire attention à ne pas remettre tout son désir en cause au risque de se perdre, parce que ça fait partie aussi de notre identité. Et pour l'exemple perso, j'étais comme toi ya encore 1 ou 2 ans, et ça m'a fait tilt un jour: non, mon désir d'être avec une femme qui ressemble au diktat de cette société est légitime, et ça m'a fait du bien! (bon derrière, faut que la logistique suive
).
Et pour en revenir à l'aspect de "l'exigence" d'une connexion émotionnelle en début de relation, il y a je pense une fourchette dans laquelle évoluer. Quand je lis ce qu'elle a écrit, on dirait un mur en face. Je trouve étonnant que ça ne fasse réagir personne, alors qu'on se tue dans cette communauté à parler de faire vivre à la fille des émotions, et toute l'importance de la partie verbale pour ce faire (tant que les actes sont là). Je ne comprends pas cette non réaction. D'où mes messages.
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Envoyé par Le Yel'
Bref, mais comme la demoiselle semblait être dans l'interrogation, je me suis permis donc de répondre en ce sens. Elle aurait décrété que ce serait rédhibitoire, alors OK.
Là, elle s'interroge, et je pense que c'est une gêne qui peut être contournée, et qui est en l'occurrence pas si inconsciente que celà.
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Il serait bon qu'elle revienne vite oui, on parle un peu dans le vide du coup
Et on s'éloigne sûrement du SOS à force, mea culpa.