[Barbiche_]

Envoyé par Capitaine Courage

Bon , il y a un peu de mauvaise foi concernant le protestantisme car il ne me semble pas que les allemands soit devenus des amish.

D'autres part, l'université d'Heidelberg ou on trouve l'une des plus ancienne université ou on enseignait tres tot la medecine pendant une periode ou le protestantisme etait à son pic et c'etait dans le moyen age.

Bien cordialement

Certes, ce que je note, c'est que ce n'est pas le protestantisme qui comme l'affirme DDLV a permit une avancée dans les recherches scientifiques car le protestant est encore plus dévot que le catholique. L'illustration de ce propos, c'est que le Catholicisme donnera naissance à des catholiques républicains. Le protestantisme lui donnera naissance aux amischs. Niveau refus du progrès... la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre.

En parlé d'université ? Ce n'est pas au MA que l'université a été inventé ? Quid de la bulle de Nicolas IV Quia sapientia ? Et tu fais bien de parlé de l'université d'Heidelberg.

Si le MA invente l'université et que 99% de nos recherches et avancées sont faites dans l'université. Si le MA est sous l'égide du catholicisme... la logique sophiste de DDLV tombe à l'eau.

J'ai jamais écris ni laissé entendre ça, exemple parmi tant d'autres.
Je dis même qu'l y a une régression depuis l'antiquité. C'est toi qui comprend rien mec, stop le transfert.

Relis-toi je t'ai déjà répondu. par le sophisme 3 qui règle la question du comptage de points entre le MA et aujourd'hui.
Et régression depuis l'antiquité au MA, je t'ai déjà répondu que c'était faux. Que le MA EST la continuité du moyen-age.

Et les Lumières n'a plus rien avoir avec cela. La civilisation qui en découle est un retour au tribalisme antique diminué de toute pensée suprasensoriel. Tu dis chier sur Voltaire et Michelet pourtant tu résonnes comme eux. Eux avait la décence de ne pas croire à leurs mensonges.

Tu ne sembles même pas avoir compris l'objet du débat que je te rappel :

L'avancée scientifique et technique est un continuum (en somme l'humanité n'a pas pu régresser ce qui est logique : il suffit de regarder ce qui est évident et non pas l'idéalisation excessive de l'Antiquité qui découle du simple besoin de tuer le roi et le pape lors des Lumières. Que fait la légion romaine face aux chevaliers en armure ? Ils périssent.)

Juger qu'un point d'un continuum est plus avancé qu'un autre car placé plus loin sur ce même continuum est une évidence que personne conteste. L'avancée scientifique et technique de la Renaissance est supérieur à celle du MA qui elle même est supérieur à celle de l'Antiquité qui elle même à celle des civilisations babyloniennes.

Donc pour juger de deux civilisations, prendre l'avancée scientifique et technique comme point de comparaison est un sophisme évident.

Une civilisation se juge sur son idéologie, son organisation sociale, sa morale... et dans les faits, le MA est supérieur à l'antiquité : le passage du tribalisme à l'universalisme, l'amour et l'occident de Rougemont, fin de l'esclavage, progrès sociale cohérent avec le contexte de l'époque.

Et le déterminisme du MA est effectivement brisé. L'on a fait croire que le siècle des Lumières c'était l'oublie du MA pour la prolongation de l'Antiquité ce qui est faux. C'est une autre civilisation qui n'a plus rien à voir. Et il y a régression.

Le progrès scientifique et technique fait l'objet du ceteris paribus : "tout progrès technique et scientifique (artistique aussi si tu veux) étant égales", le MA fût l'apogée de la civilisation humaine.

Si tu n'es pas capable de l'admettre, tu es soit de mauvaise foi, soit ignorant parce que je te rappel que la civilisation antérieur et postérieur au MA est basé sur l'esclavage, l'entropie soit la guerre du tous contre tous et le tribalisme et bonus pour la civilisation postérieur, on ajoute la guerre qui devient mondial, la maladie généralisé, les maladies mentales, le suicide et la dépression et j'en passe.
Cité moins les catastrophes humaines, elles sont toutes postérieurs au MA. Cité moins les catastrophes sociales.. là toujours, la postérité du MA à la panacée.