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Envoyé par Braveheart
Et bien souvent, désolé messieurs, mais c'est d'elle même qu'elles arrivent à découvrir comment elles aiment jouir.
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C’est très vrai. On ne peut pas espérer connaître quelqu’un mieux qu’il ne se connaît lui-même au moins sur ce plan-là.
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Envoyé par Braveheart
Certaines sont clitoridiennes, d'autres vaginales et certaines chanceuses les deux.
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Ça m’ennuie toujours de lire ça, même si l’idée est couramment répandue. Un peu comme ces histoires de point G, point machin, point truc. C’est un peu grotesque. Toute la zone anale et génitale est extrêmement érogène, certaines zones plus que d’autres selon les femmes (physiologie, expérience, croyances…) donc autant explorer sans préjugés.
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Envoyé par Braveheart
Et l'orgasme n'est pas obligatoire dans la réussite d'un rapport!
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Ça c’est comme écrire qu’on peut réussir une ascension sans arriver au sommet. ;-) Disons que l’on n’est pas obligé d’y arriver du premier coup, mais si l’on n’y arrive jamais, ça devient gênant.
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Envoyé par don Diego de la Vega
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Le chiffre ne me surprend pas. Certains sociobiologistes pensent que les femmes sont «*programmées*» pour se lasser de leur partenaire habituel au bout de quelque temps. L’avantage évolutif est évident. Il y a des publications passionnantes là-dessus.