Citation:
Envoyé par EagleVision
L'orgasme et l'éjaculation sont deux processus bien distinctes, l'éjaculation ne provoque aucun plaisir (à part la sensation quand le sperme monte dans le pénis)
L'intérêt même de ce challenge est de connaitre un plaisir intense sans éjaculer et donc durer plus longtemps, d'apprendre à connaitre son corps et sa sexualité, c'est très efficace pour les éjaculateurs précoce. tu n'as pas de chute de plaisir après l'orgasme et tu ne perd pas ton érection.
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Ok je vois où tu veux en venir, ça peut être intéressant.
Citation:
Envoyé par EagleVision
Ce n'est pas le but de remplacer le NoFap Challenge, concernant les effets ils sont identiques aux NoFap, ce n'est pas qu'une histoire d'attitude, c'est un boost hormonale.
Je conçoit tes objectifs du NoFab par changer les habitudes du porno, ainsi que ''le circuit de la récompenses du cerveau'', je vois pas trop ou tu veux en venir ?
Et le NoFap ne permet pas forcément de changer les habitudes du porno, tu peux très bien reprendre après avoir réussi le défi, c'est une question de volonté, il est préférable de se masturber avec son imagination
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Ok, j'avais cru à la base qu'il s'agissait d'un substitut
Concernant le boost hormonal et le circuit de la récompense, je crois qu'il s'agit de conceptions biaisées de la physiologie humaine (d'un autre côté, il n'y a pas de certitude à ce jour là-dessus).
Je crois que nos visions s'opposent en ceci que tu penses qu'il y a des changements hormonaux via un comportement, alors que je pense qu'il s'agit d'un changement neurologique (ou psychologique si vous préférez) via ce même comportement.
Le circuit de la récompense fait référence au cerveau de l'addiction, qui ne pose peut-être pas de problème chez toi, mais pour les adeptes de NoFap, il est reconnu comme une des grandes causes de leur problème (voir aussi
https://fr.wikipedia.org/wiki/Noyau_accumbens)
Mais peut-être qu'une fois que le comportement en question a eu des répercussions neuro-psychologiques, il y a également des changement hormonaux. Malheureusement, les études montrent la quasi absence de changement au niveau du taux de testostérone selon la variance dans l'activité physique ou sexuelle.
A mon avis, il s'agit plutôt d'une sensibilisation (là aussi un terme lié aux addictions, opposé au terme de tolérance) aux effets positifs liés au comportement (on ressent plus de bien-être lorsqu'on va courir régulièrement et faire du fitness lorsque l'on le fait à la place de rester derrière son ordi à se branler, par exemple, mais si on fait les 2, le sport risque de rester fade)
Mais je m'égare, je crois que je suis hors sujet