Le romantisme "Glamour" de la soumission - (Episode 4)
Soyez rassurées, je ne vous néglige pas. Seulement voilà, mes activités de ce début d'automne, très prenantes, me tiennent éloignées de l'ordinateur et de son clavier. Aussi, c'est entre deux périodes très actives que je prends un peu de mon temps précieux pour vous offrir un peu de lecture. Altruiste que je suis...
Ma "coquine" m'avais téléphoné juste avant mon départ pour l'Ecosse, à la fin du mois d'août. Prétextant une visite chez sa collègue de travail pendant le dernier entraînement de foot-ball de son mari, elle avait prévu de passer ce jeudi soir en ma délicieuse compagnie. Nous avions donc quatre heures à consacrer aux plaisirs de la Dame.
Ma "coquine" arriva pour dix neuf heure. Comme d'habitude, j'avais préparé un délicieux repas. Il est toujours plus agréable de se livrer aux plaisirs de la chair après s'être livré aux plaisirs de la table. Aussi, nous avons fait honneur à ce gratin de tomates et de courgettes accompagné d'une salade de carottes et d'avocats.
Vêtue d'une jupette de style "tennis", d'un T-shirt laissant poindre le bout de ses petits seins pointus et chaussée de "basket", je la trouvais délicieusement sexy. Après le repas, la saisissant doucement par les cheveux, je l'entraînais vers mon salon. Les fenêtres ouvertes offraient un agréable courant d'air.
Avec les menottes qu'elle me tendait, presque suppliante, j'attachais ses mains, les bras levés, à une des poutres apparentes du plafond. J'écartais ses jambes pour fixer à ses chevilles cette barre qui l'empêchait de les resserrer. Passant ma main sous sa jupe, j'écartais son slip pour me rendre compte que la Dame était bien "humide". Elle eut un gémissement significatif.
Je fixais la boule en caoutchouc rouge dans sa bouche, maintenue par une sangle qui l'enserrait par la nuque. Les yeux pleins de reconnaissances, ma "coquine" bougeait déjà doucement du bassin. Au milieu de la barre horizontale qui écartait ses jambes, je fixais la barre verticale. L'extrémité terminée par un gode que j'enfonçais doucement. Je regardais son visage se couvrir de sueur.
J'allais m'asseoir dans le fauteuil pour, une fois encore, l'observer longuement pour notre plus grand plaisir. Elle aime tant être vue dans ces situations. Aussi, je me fais un devoir de lui offrir ces moments "précieux" pour sa libido et ses fantasmes exhibitionnistes. Elle est si belle, là, sur la pointe des pieds, de la salive coulant sur son menton pour dégouliner sur le haut de son T-shirt.
Son bonheur est palpable. Et pour m'en assurer, au bout de dix minutes, je me lève pour venir la toucher. Je passe une nouvelle fois ma main sous sa jupette. Tout y est mouillé. Je l'embrasse, je lui lèche le visage avant de tomber à genoux pour savourer ses muqueuses de ma bouche avide. Elle gémit sans retenue.
Au bout d'une dizaine de nouvelles minutes, je me lève. Je la détache. Je lui passe le collier. Avec une laisse courte, je la promène dans toute la maison. Je lui retire la boule de la bouche et je l'embrasse comme un fou. Sa salive est un véritable nectar. Je lui enfonce un doigt dans le sexe. Trempé ce dernier est animé de spasmes musculaires. Etonnante sensation qui électrise toute ma main.
Soulevant son corps qui me semble si léger, je la dépose sur mon grand bureau. Je lui écarte les cuisses largement pour déposer chacun de ses pieds sur mes épaules. En appui sur ses mains, derrière elle, j'ouvre ma braguette. Immédiatement je la pénètre avec une infinie tendresse, doucement, lentement.
La tête rejetée en arrière, murmurant des mots incompréhensibles, elle pousse des gloussements de plaisirs qui affolent mes sens. J'accélère le mouvement du bassin. Nous restons ainsi longuement à faire l'amour. Je la soulève sans me retirer. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Elle me tient par les épaules.
Je la promène ainsi, pénétrée par mon sexe, dans tout le salon. Elle m'embrasse goulument avec une avidité folle. Elle ne pèse rien et nos corps fins sont trempés l'un de l'autre. De nos substances collent le tissus de mon pantalon. Je l'emmène sur le canapé. Là, je me couche sur elle. Des soubresauts, nombreux, parfois violents, secouent tout son corps.
Au bout d'une demi-heure, j'éjacule comme un dément. Elle se cabre. Nous avons plusieurs orgasmes communs. Elle se coule contre moi. < Je t'aime ! > me dit-elle avant que je ne pause ma main sur sa bouche. Ses yeux m'implorent. Je ne veux pas entendre la suite. Rien n'est possible. Sa vie est trop compliquée. La mienne est tellement plus simple....
Aimer son "Maître" est contraire à la déontologie de la soumission. Je le lui fis remarquer. Cela ne se fait tout simplement pas. C'est un grand manquement aux convenances de cette activité. Elle me regardait, un peu triste et dubitative. Je l'embrassais une nouvelle fois.
Nous définissons une nouvelle séance pour le début du mois d'août où j'aurais deux jours de battement. Il est temps qu'elle rejoigne ses foyers. Son cocu ne va pas tarder. Il est déjà vingt trois heure. Nous nous embrassons longuement dans l'allée du jardin. < C'était bien ! Tu es merveilleux ! > me fait-elle encore avant d'entrer dans sa voiture.
< Je sais ! > lui fis-je avec un clin d'oeil.
Je la regarde partir. La voiture disparaît dans la nuit, au bout du chemin qui monte vers la route...
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Si on veut...