[don Diego de la Vega]

Elle se méfie encore de toi. Elle a été marqué par votre histoire passée. Laisse lui du temps!

Sur l'aspect "laisser du temps" je buzz.

Elle va se mindfucker toute seule si James Bond n'est pas là pour démontrer son engagement.
Les meufs fonctionnent comme ça, elles ont besoin de preuves par les actes.
Elles ont besoin de se faire pécho par des bras audacieux (exactement comme dans la chanson des amants de St Jean ).


De plus, si ma mémoire est bonne, elle a eu ce temps puisque c'est elle qui est revenue vers 007 (à confirmer, ou sinon je relirai).

Pour moi elle attend des marques d'engagement.

Pour moi ton message était très bon et exactement le signal qu'elle attendait.
Démontre lui maintenant que tu peux l'aimer en étant prêt à la perdre.
Pour moi aucune hésitation : il faut littéralement lui sauter dessus quand tu la verras (cette fameuse audace + détermination qui peuvent suffire à la faire passer de zone grise incertaine à réciprocité des sentiments, puisqu'elle se sentira désirée. ce point est crucial).

Même si elle te repoussera peut être, probablement avec des larmes, parce que c'est trop tôt.
Mais elle aura vu et compris la nature de ta motivation et de ton engagement.
Donc accepte qu'elle fasse marche arrière.
Elle reviendra. en sa basant sur ton intérêt pour elle.
C'est une véritable épreuve pour ton anxiété. Mais c'est aussi l'occasion rêvée de lui démontrer par des actes quel homme tu veux devenir pour elle.

[Oncle Barney]

J'entendais par "laisse lui du temps", le temps que vous passez ensemble. J'ai bien écrit qu'elle attendait de voir comment ça allait se passer entre vous.

[Bond]

Merci les gars !

Petite précision pour don Diego : non, c'est moi qui suis revenu vers elle (malheureusement) par message. Mais elle a très vite accepté de me voir. À moins que tu ne parles du fait de revenir vers moi physiquement lors de ce rendez-vous : oui, là, c'est elle qui m'a pris le bras et s'est blottie contre moi.
La partie s'annonce difficile, mais je vais agir.

J'ai bien conscience, Barney, de la différence d'état d'esprit entre nous. Le contraste entre ma fougue et sa méfiance est évident. Mais mes attentes ne sont pas non plus le fruit du hasard. Très honnêtement, en la voyant la semaine dernière, je m'attendais au pire : qu'elle soit froide, qu'elle me demande si j'arrive à passer à autre chose ou, pire, qu'elle me ramène les quelques affaires qui étaient restées chez elle.
Or, ça a été totalement différent. Elle est venue spontanément vers moi, m'a tenu le bras et la main. Elle avait l'air, par moments, attendrie.
De plus, elle a très clairement envisagé l'avenir, comme si rien ne s'était passé, en disant : "Oh, j'aimerais bien retourner là...", "Tu me tromperas plus tard", "Il faut que je communique plus pour que ça fonctionne".
Mes attentes sont donc en rapport avec son comportement "en réel".

Malgré tout, même pour moi, ces marques d'attention arrivent trop tôt. C'est son petit côté "faux" que je n'aime pas chez elle : beaucoup d'affection en apparence, mais je ne sais pas ce qu'elle ressent au fond.

Don Diego, je préfère te le dire : j'hésite à appliquer ton conseil. Je ne sais pas si je dois être aussi direct. En fait, je suis complètement hésitant quant à la stratégie à appliquer.
Si je lui saute dessus, elle me repoussera et pensera peut-être que je la crois de nouveau acquise, ce qui n'est pas le cas. Je voudrais que le baiser symbolise la reconquête, et qu'il ne soit pas une simple impulsion de ma part.
Je ne lui sauterai pas dessus, mais je vais faire monter la tension lors de notre promenade, tout en discutant, en espérant un KC final pour symboliser un potentiel renouveau.

Enfin, oui, je dois comprendre sa froideur actuelle, même si elle est incohérente avec son attitude en ma présence. C'est difficile et je parais stressé, parce que dans notre relation, elle a toujours été extrêmement intéressée, et ce, depuis le début : c'était elle qui voulait me voir tout le temps, qui avouait ses sentiments, qui m'envoyait des messages en premier, etc.
Là, elle se comporte comme une fille non intéressée par un gars qui la courtise.

Mais bon... maintenant, on va passer aux actes.

[don Diego de la Vega]

Je ne lui sauterai pas dessus, mais je vais faire monter la tension lors de notre promenade, tout en discutant, en espérant un KC final pour symboliser un potentiel renouveau.

Ca me semble bien.

Mais bon... maintenant, on va passer aux actes.

J'aime lire ça

J'ai rien à ajouter.
Tu nous raconteras ?

[Bond]

Bien sûr ! Je vous suis déjà redevable pour vos conseils, quoi qu'il advienne !

[Mercier]

Pourquoi ne pas l'avoir embrassé ? Tu aurais pu largement le faire sans soucis, c'est important d'intégrer un rapprochement physique.

Quant à son message et bien il est positif elle est apparemment d'accord pour te voir ce week-end, donc profite s'en.

Et une dernière chose ""Je me doute que tu ne sais pas si j'ai changé parce qu'après tout, mes cheveux, mes vêtements et tout le reste sont toujours les mêmes ! Mais durant ton absence, s'il y a bien une chose positive à retenir, c'est que j'ai eu le temps de réfléchir (et d'agir) sur moi-même. Je suis bien moins anxieux et tu l'as probablement ressenti. Je sais que l'on peut aimer quelqu'un sans le voir. Je suis plus positif de manière générale.
Nous avons grandi tous les deux. Nous étions auparavant des enfants/adolescents (surtout moi !), mais il est temps de passer à l'âge adulte (ce qui ne signifie pas qu'on ne peut s'amuser). Et seuls mes actes prouveront ce que je dis.
Passe une bonne journée. J'espère te voir ce week-end. ""

Arrête de remettre le passé sur la table, rester dans ce cadre ne fera rien avancer et sera contre productif, maintenant soit tu passes à autre chose et tu vis la suite de votre relation (oui parce que ce n'est pas une nouvelle relation mais juste la suite), soit tu passes définitivement à la prochaine femme.

[Bond]

Je ne l'ai pas embrassée parce que je sentais que ça n'aurait pas eu une grande signification à ses yeux. La tension était retombée vers la fin ; ça aurait été malvenu à ce moment. Pour le rapprochement physique, je ne m'en fais pas trop ; je suis plus inquiet pour le rapprochement spirituel, même si les deux sont évidemment liés.

Tu as raison : je ne veux pas évoquer le passé. Mais je suis désolé, lors de notre rencontre, c'est elle qui en a parlé et qui a semblé vouloir relever tout ce que j'avais fait de mal pendant notre relation. J'ai été pris de court la dernière fois, car elle était presque "agressive". Puis, elle s'était calmée et rapprochée.

J'ai réfléchi : si je veux la reconquérir, il faut que je sois pleinement moi-même, c'est-à-dire le type relativement drôle et dominateur qu'elle a connu. J'ai toujours été très sexualisant.
Aussi, ce soir, quand elle m'a dit qu'on irait au parc "sauf s'il pleut", j'ai sauté sur l'occasion :

"Ah bon, tu ne veux pas être mouillée ?"

Je m'attendais à un silence, mais elle m'a simplement répondu par une émoticône ressemblant à celui-ci : "", ce que je prends relativement bien. Un peu de flirt, mais tout léger.

[Bond]

Merci à tous, les gars, mais j'ai échoué. J'écris ces lignes un peu ému, car je sais que c'est bel et bien fini maintenant.

Toute la semaine, depuis les retrouvailles, j'avais eu une impression très négative de nos échanges limités. Elle ne répondait pas à tout ; elle a accepté de me voir "un peu" ; elle ne semblait pas enthousiaste. Contrairement à vous, qui étiez plutôt optimistes, je fondais très peu d'espoir dans mon entreprise de reconquête.

J'avais raison. Dès qu'elle est arrivée, aujourd'hui, j'ai vu un visage sombre, n'affichant aucun sourire. Nous ne nous sommes presque pas salués. Elle était complètement silencieuse. On a commencé à marcher vers le parc, et elle ne disait presque rien. Je sentais que ça n'allait pas ; je sentais que rien n'y ferait. J'étais, pour ma part, plutôt enjoué et positif, et le temps était très ensoleillé malgré un froid glacial.

Mais très vite, avant même d'arriver dans le parc, les choses dérapent. Je la touche légèrement, et elle me repousse : "Pourquoi tu me touches ?", d'un air presque dégoûté. Elle me demande même : "Pourquoi on se voit en fait ?"
Je me récrie, lui demandant des explications, même si j'avais compris. Je lui ai rappelé que la semaine précédente, c'est elle qui m'avait pris dans les bras.

Elle n'arrive pas à me donner des explications claires. Elle murmure qu'elle n'a plus les mêmes sentiments, ce qui était évident dès la fois dernière. Je lui reproche sa fausseté et de s'être déplacée pour rien.

Je vois son visage de marbre, et tout s'écroule. Je le sais maintenant avec certitude. Elle prétend qu'elle a voulu y croire et qu'elle essaie encore d'y croire, mais elle me reproche mon attitude, même mon langage corporel ("mon air dégoûté" - je n'ai pas compris). En fait, elle me reproche d'être moi. Elle le conteste pourtant ! En ce moment, je reste calme.

Comme je l'avais prévu au cas où ça tournerait mal, je lui déballe mon sac. Pas d'insultes ni de colère, mais j'ai besoin de m'exprimer. Je lui reproche son hypocrisie, ne serait-ce que la semaine dernière. Je prétends ne jamais l'avoir connue. Je lui demande d'être franche et de me dire directement qu'elle ne ressent rien ; elle dit pourtant qu'elle ne ressent pas rien. Je pointe son insensibilité. Je lui rappelle qu'elle a eu envers moi, durant la relation, un comportement et des propos parfois inacceptables. Je pars soudainement en lui disant "Au revoir", et je la vois de loin rester debout, immobile dans le froid.

Par instants, je n'ai rien ressenti pour elle, mais quand je repense à sa petite bouille, je suis très malheureux. Je suis aussi malheureux d'être parti ainsi, mais je ne peux pas être traité de cette façon.

Je ne vais vraiment pas bien, en fait. Je revis la rupture, là. L'avoir vue comme ça, si froide, après la semaine dernière, m'a choqué...

[Bond]

Acte II, scène 1 !

Hier soir, dans ma tristesse, j'ai tout fait pour m'occuper en contactant de nombreux amis. Et puis, en plein milieu d'un appel, vers 23h, je reçois un coup de fil... de mon ex !

Je prends l'appel immédiatement. Elle est en pleurs : "Pourquoi m'as-tu dit des choses aussi méchantes ?"

J'étais parfaitement calme et posé, mais aussi ferme et sévère. Je n'ai pas pu accepter son attitude envers moi : après la semaine dernière, où elle m'avait fait miroiter des choses, elle m'a fait déplacer pour rien cette fois-là ; elle était froide et silencieuse et m'a reproché mon attitude alors que je n'ai absolument rien fait de mal. Je lui reproche de trop réfléchir ; je lui conseille bien plutôt de vivre, tout simplement, et de voir comment ça peut se passer avec moi. Je parle au passé.

Elle parle au présent et paraît séduite par moi au téléphone : "Voilà, quand tu es comme ça, calme et gentil, tu es mon *surnom* !"
Je lui ai assuré que j'étais toujours ainsi, mais qu'elle ne m'avait pas laissé l'occasion de lui montrer. Elle en convient.

Je réussis à l'apaiser. Elle réutilise mon surnom plusieurs fois et s'exclame même : "J'aimerais bien que tu sois là, maintenant, pour me prendre dans tes bras". Elle préfère que l'on se voie dans son appartement, afin que la rencontre soit plus intimiste que dehors... Je lui ai répondu que c'était une bonne idée et que si elle le voulait, elle pourrait me le proposer prochainement.

Elle tempère toutefois notre excellent échange en ajoutant : "Je pense quand même qu'on ne peut pas utiliser dès maintenant les surnoms qu'on se donnait". Je partage son avis, même si c'est elle qui a recommencé à le faire.

Pour terminer cet appel, je lui ai dit qu'elle pouvait m'appeler de temps en temps ou m'écrire. Si elle veut vraiment qu'on se voie, elle reviendra vers moi. Et si on se voit chez elle, il y a une forte probabilité de FC, qui pourrait ranimer la flamme.

Ce matin, elle me parle de la neige qui tombe. Je compte ne pas trop lui écrire si elle ne le fait pas, mais en tout cas, contre toute attente, il semble qu'elle ait toujours des sentiments pour moi.

Quoi qu'il en soit, ça va être difficile. Notre rencontre hier près du parc m'a choqué ; je ne l'avais jamais vue aussi insensible.

Quel sera le prochain épisode de cette histoire complètement folle ?

[don Diego de la Vega]

Elle parle au présent et paraît séduite par moi au téléphone : "Voilà, quand tu es comme ça, calme et gentil, tu es mon *surnom* !"
Je lui ai assuré que j'étais toujours ainsi, mais qu'elle ne m'avait pas laissé l'occasion de lui montrer. Elle en convient.

Bon, j'ai pas réagi à ton précédent post bien que ça me fende le cœur, parce que je trouve que t'abuses un peu et je voulais pas te gueuler dessus dans un moment pareil...

(j'exagère un peu, j'ai pas très bien expliqué non plus)




Tu vois bien quand même qu'elle a besoin que tu verrouilles les choses ?

Elle a besoin que tu lui dises "arrête maintenant. On va le faire et on va y arriver parce que je suis putain de déterminé".

Faut vraiment comprendre que les shit tests sont totalement inconscients, et là on est en plein dedans.

Quand elle est froide et/ou agressive, faut la contenir.
Au pire, mettre fin à l'interaction (mettre en pause serait plus juste ; pas de ressentiment).

Tu comprends que tu dois dominer l'interaction, ou pas ?

L'égalité c'est des pures conneries (autrement qu'en matière juridique), arrête de lui parler comme si c'était un homme.
C'est une femme. Et elle est en vrille. Elle a besoin de se rattacher à ta fermeté et à ta solidité.

C'est pour ça que ça sert à rien de lui faire des reproches (tu lui en a fait dans le FR précédent).

Quel sera le prochain épisode de cette histoire complètement folle ?

Prend le lead ou ça finira.

Honnêtement je trouve que tu subis complètement la situation et j'en viens à me demander si tu veux vraiment que les choses marchent (je passe en mode cash).

Si tu restes dans un état "enfant" vis à vis d'elle tu es mort.


Et recréés du lien avant de la mettre face à ses contradictions.

Tu vois bien qu'elle fait n'imp quand même ?
Si tu la laisses naviguer tu vois bien le naufrage non ?
Alors putain sors tes couilles et tu m'en dira des nouvelles.


Désolé d'être aussi rough mais j'ai l'impression que tu n'arriveras pas à t'adapter, alors je préfère te mettre des coups de boule plutôt que ce soit elle.