Bon, j'aurais pas dû commencer à lire les coms et passer direct à l'article.
Moi j'y vois une leçon claire et définitive sur l'incapacité du nice guy à comprendre que son inaction propulse ses rivaux.
Il génère de la frustration et de l'énervement chez sa target, du coup il se prend à chaque fois un sale feedback.
La partie de l'enseignement qui consiste à dire "regardez comment ce mec représente ce qu'il ne faut pas faire", je la trouve bonne.
Le mec idéalise la vie et refoule le rapport de force. Il est exactement ce que je décris parfois, un mec qui est gentil par défaut, tout simplement parce qu'il n'a pas les armes. Donc pas un gentil, un faible. Faut voir les choses en face.
Source ici.
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MAINTENANT
Là où l'article est excessivement borderline, c'est sur le "modèle" proposé en face, qui est l'exact inverse mais pas forcément plus respectable.
Les 3 personnes décrites dans l'article ont des schémas toxiques.
Sur ce point rien à ajouter par rapport à mes petits camarades.
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Dernière remarque importante
Je lis la phrase "il ne faut pas faire l'amour à une ONS comme on le fait avec sa LTR" (formulé autrement, bref).
C'est une erreur incommensurable sur fond de complexe de la madone et de la putain.
Je me permet de le souligner car ce n'est pas la première fois dans les articles ADS.
Moi, ma femme, je la déglingue comme la dernière des chiennes, ce qui n'empêche en rien que j'ai un profond respect pour elle.
Le mec qui ne dépasse pas ce complexe pose lui même une source grave d'emmerdes pour son couple, à savoir qu'il sacrifie à la fois sa vie sexuelle et potentiellement sa fidélité, ainsi que ce pilier du couple qu'est le sexe, sur la base de ce complexe madone/putain.
Je le répète c'est une erreur grave qu'à mon sens il convient de comprendre et de corriger.
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Ma conclusion : un fond d'article intéressant, mais dont les limites gagneraient à être soulignées, pour lui donner ce recul nécessaire.