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Envoyé par Azrael56
Comme les chinois qui viennent à Paris en se disant que c'est la plus belle ville du monde, et que une fois arrivés rencontrent ............... les Parisiens.
C'est pas de l'anti-Parigo gratuit (même si des potes envoie du mauvais retour sur leurs études Parisiennes ) , depuis quelques années la "dépression Parisienne" existe chez beaucoup de touristes à cause de l'accueil reçu. Les Français on une réputation de gens sympa, charmant, accueillant, pour certains c'est qu'une réputation.
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Le problème là dedans, c'est surtout l'incapacité de la plupart des Français à renseigner les touristes en anglais. Quand je me ballade dans le centre de Paname, il m'arrive tout le temps de renseigner des touristes égarés, avec sourire, patience et compréhension.
A Bruxelles, certaines personnes vont même vous proposer de l'aide quand vous vous arrêtez pour regarder un plan. Il ne faut peut être pas en demander autant aux Parisiens mais les touristes n'ont qu'à demander et ils sont renseignés. Les Parigos qui se sont déjà perdus dans une ville étrangère, comprennent aussi bien que les autres que prendre trois minutes pour aider les touristes ça ne coûte pas cher et c'est toujours apprécié.
Mais bon, deux ans après avoir quitté Lutèce pour le Nord, c'est vrai que je suis parfois surpris de me faire bousculer quand je déambule tranquillement sur les trottoirs parisiens. Et j'ai du mal à accepter de me faire refouler à l'entrée de certains rades minables qui ne servent que de la pisse de koala dans des verres mal lavés juste parce que j'y vais accompagné d'un pote et pas de deux filles (oui, je parle bien du Oz).
Un truc aussi vis à vis des touristes : il y a quelques serveurs de café parisiens qui devraient peut être suivre un stage d'amabilité.
Pour en revenir au sujet du romantisme à la française, je pense qu'une dose maîtrisée de fougue et de passion ça peut aider à faire succomber la demoiselle, mais uniquement lorsque celle-ci vous a envoyé des IoI clairs.
Si on se lance d'entrée de jeu dans une comédie sentimentale à la française, la cible s'adapte immanquablement en interprétant la partition féminine de cette opérette : le grand air de la mijaurée.