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Vieux 28/01/2018, 01h22
don Diego de la Vega don Diego de la Vega est déconnecté
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Citation:
D’où viennent nos désirs ? De nos vécus, de nos histoires et de nombreux facteurs personnels que nous ne maîtrisons pas. L’atmosphère du moment peut inciter à essayer des choses, mais sûrement pas à les aimer ou à les faire siennes. Je pourrais passer les 12 prochains mois à lire des articles sur ce genre de pratique, je n’aurais pas plus envie qu’aujourd’hui de m’y adonner.
Perso j'ai toujours été très circonspect sur certaines pratiques BDSM.

Celles où la fille reçoit de la réelle violence physique avec des grosses marques, par exemple.
J'ai peine à croire qu'il n'y ai pas derrière ça des traumas ou autres comportements plutôt toxiques et qui sont rejoués.
Idem pour le mec qui va vraiment prendre son pied à lui mettre une branlée (je ne parle pas ici de théâtralisation ou autre jeu de rôle, mais de réel SM bien coriace et qui implique du sang).


Un peu le même topo ici avec le cuckholding.
Se faire traiter de petite bite inapte au rapport sexuel au profit d'un amant, j'ai vraiment peine à ne pas croire que beaucoup vont tomber dedans en faisant de nécessité raison.
Vu qu'ils n'ont pas le choix, ou qu'ils sont en totale dépendance affective vis à vis de leur femme, ils vont tomber là dedans par défaut.
Typiquement, on peut aisément miser une boule sur le profil type des clients de moneydom par exemple : on trouvera peu de BG qui ont un choix de fou en claquant des doigts.


Je ne dis pas que certains n'iront pas dans cette voie par pure liberté et par pure passion intime.
Mais dans ces fétichismes très hardcores, les cas questionnants au niveau psy doivent quand même logiquement se récolter à la pelle.


Et côté "dominant", comme avec l'exemple de la femme violentée dans le SM, on peut retrouver un profil de PNM pervers narcissique manipulateur, bien toxique.
Et ça dans le BDSM il y en a énormément.
Ce qui fait la différence entre les deux réside souvent dans les "à côté" du sexe : le reste de la vie conjugale.

C'est bien la tendresse et la bienveillance (hors fétiches bien sûr) qui feront toute la différence.


Citation:
c'est une pratique masochiste. C'est particuliers le masochisme ne trouve pas la jouissance dans le sexe mais bel et bien dans la souffrance.
Il me semble plutôt que le masochisme relie sexe et souffrance.
On parle bien d'une paraphilie, on parle bien d'une pratique sexuelle

Dernière modification par don Diego de la Vega ; 28/01/2018 à 01h25
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