Discussion: Le coup Final
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Vieux 12/01/2018, 22h16
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Envoyé par cosy_joomla500 Voir le message
Oui elle était dans le pur mensonge c'est clair. Dès l'ors, tout comme toi, je considère que le manque de respect est confirmé vu ses actions nombreuses. Après, pour ce qui est de la rancune, ça sera selon ton affect mais t'es dans ton plein droit.

Tu n'a pourtant pas l'air de demander la lune mais si elle n'est même pas capable d’être réciproque pour si peu c'est que t'as eu affaire à une femme enfant c'est sur.

Le pire que tu puisses faire serait de t'exprimer clairement avec elle car comme tu l'a remarqué elle n'est absolument pas sur la même ligne que toi. C'est particulièrement énervant de tomber sur ce genre de femmes qui bien souvent se mentent même à elles-mêmes et donc ça nous obligera à être de plus en plus attentifs à des indices de comportement douteux pour éviter de retomber sur des filles comme ça.
C'est exactement ça! Je suis en colère, c'est ma première phase de deuil, ok. i'a un peu de tristesse de m'etre fait couilloné. Mais comme j'écris dans mon texte, c'etait une (mauvaise) expérience pour moi. A elle, ça ne lui aura servi a rien.
Je ne la pourri pas pour la pourrir, pas parce qu'elle le mérite, pas parce que je serais dans mon bon droit de dire qu'elle a agit comme une sale égoiste versatile.
J'ai mes des potes qui m'ont dit "charme là, baise la une derniere fois et ensuite tu la jette" j'ai meme pas envie de ça. D'abord parce que je sais pas ou son vagin a trainé depuis la semaine dernière, ensuite parce que je vais pas m'abaisser à ça.
Non, je vais le faire parce que c'est important pour moi, c'est dans mes valeurs. JE m'en fou qu'elle n'en retienne qu'une phrase, ou rien. Je dois lui dire. Elle a ete importante pour moi, meme si je me suis totalement trompé. C'est une Catharsis. Une ponctuation finale. J'ai besoin de lui verbaliser ça pour mettre un point d'orgue. "l'enterrer", d'une certaine manière.
J'ai écrit, modulé jusqu’à une nouvelle version. Plus soft, elle laisse plus transparaître mon désarroi, certes, mais elle montre que je me base sur les faits...
Après tout, j'ai toujours ete entier, vrai. Alors autant le rester...

Voici la version (quasi) finale :
____________________________
Voila comment je comptes clôturer notre entrevue orale. Je sais pas encore si le ton sera bon...

Je compte traiter le problème avec l'opportunité d'en discuter. écoute bien, Emma, écoute jusqu’à la fin

On va discuter une dernière fois, jusqu'au bout, d'accord? Parce que si au téléphone t'as honteusement voulu justifié ton comportement par "je t'aimais plus depuis longtemps mais j'avais l'amour de ce que représentais notre couple", qui n'était lié qu'à ton caractère girouette égoïste, ben c'est pas passé... Pas cette fois. Tu aurais pu éviter ça en reconnaissant une chose "ben oui, je suis une fille versatile et mon confort est trop important, je n'ai plus besoin de toi. Je te présente mes excuse pour t'avoir menti"...
Comment commencer sans te dire que tu es une égoïste, insensible et irrespectueuse?...
Allé, j'essaie.
J'aimais tes défauts. Maintenant ils me sautent au visage...

Je suis plein de tristesse. Mais je ne peux pas te l'accorder. Je ne veux pas que tu m'inspire ça en plus.
Non. Pourtant je le suis.
Je préfère être en colère. Transformer ça en ressentiment. Pour bien être lucide. Prendre du recul.
Mais que ces mots restent en ton esprit.
J'ai été amoureux de toi. Vraiment amoureux de toi. Je trouvais ça merveilleux qu'une femme comme toi s'intéresse à moi. Alors qu'en fait, t'avait vraiment, toi, beaucoup de chance qu'un homme comme moi soit là pour toi.

Trop égocentré. Trop nombriliste. Je pensais pouvoir te changer, te faire évoluer. Je croyais en la pureté de mon amour. Sincèrement je te voyais participer. Mais je pêchais de trop d'amour aveugle pour toi. je suis coupable d'avoir voulu subir, c'est certain.
Toi qui ne t'investis pas dans tes couples. Tu y crache dessus à la fin.
Tu n'est pas capable de beaucoup d'actes d'amour désintéressés... Je me sens pathétique d'y avoir cru. Tu peux te moquer de moi, ma tristesse et ma douleur. Que je modèle, en ressentiment objectif sur nous. Tout ça parce que t'as détruit l'histoire en prétendant être resté avec moi "par habitude".
Car si je me fie à ce que tu dit (ça vaut pas grand chose, tu avoueras, sauf dans le négatif) ben ça n'allait pas. Effectivement. Notre couple n'allait pas. Je ne suis pas amer. Juste j'ai ôté mes œillères. Me rendre compte qu'au final, si tu ne ressentais rien que ça ne marchais pas depuis des semaines ou des mois comme tu te persuades déjà que c'est le cas, tu m'utilisais juste.
Au moins pas pris 2 fois pour un con. Etre trompé est déjà assez humiliant.
Je ne vais pas non plus insister, non. Je ne te ferais pas plaisir de croire qu'il existe une part de moi qui te respecte. Qui pense que t'es une bonne personne. Qui crois que tu as de "l'empathie", ce mot qui t'es inconnu mais que tu te désirerais porter avec une telle envie.
Te bercer de l'illusion que tu pourrais "t'engager" et crois moi si malgré tout, mon affection pour toi se manifeste, même une seconde, je la moucherais d'un coup. Car nous n'étions pas en couple. J'étais en concubinage avec ton train-train. A moi de m'adapter. Tu ne m'as jamais laissé ma place. Mais bon, maintenant, tu peux aller revoir Josselin sans crainte, par exemple, en 1ans et demi, il n'est toujours pas au courant de mon existence...

Je te cherchais des excuses : ... Mais considérant la façon dont tu te comportes avec les autres, en fait non. Juste de l’égoïsme. Tu n'aimes pas ce mot? Pourtant, tu ne transiges rien a ta vie. Tes plans. Ton confort. C'est ça. Le reste, des contraintes auxquelles tu ne te soumet jamais de bonne grâce.
A Noel tu aurais invité, imposé chez ta grand mère, pour Noel, Mathieu... Putain c'était pas croyable quand je l'ai entendu, mais j'ai rien dit. Tu es sacrément culotté, même envers ta famille. Je sais que ta vie de mensonge te sautera au visage un jour...

J'ai de la peine, pour toi. Moi je me suis trompé. J'ai été pris pour un bien de consommation. Un jetable.
J'aurais du écouté mon frère non? Faire un break à ce déménagement. J'en viens à avoir des remords, moi. Mat aurais eu l'occasion de t'être certainement plus utile. Ça lui aurait fait plaisir. Ça t'aurait fait "tilter" plus tôt. J'aurais pu passer mes fêtes en famille. Maintenant, ça ne vaut plus rien.
Quand tu es dans une période noire, dans la merde, j'étais là, tu comptais sur moi. Mais des que t'as du temps libre, et avec le peu de taf que tu fournis, tu en as, t'es oisive, et tu te permets le badinage. Tu n'es pas fiable, et tourné vers toi. Ça te perdra. Mais c'est plus mon problème.
Tu peux te mentir, mais tu ne me mentira plus. Tu as tué respect et confiance. Sans refaire l'histoire, tu aurais dû ne plus voir Mat, au moins le temps que je revienne. En parler, comme ces belles paroles que tu m'avais lancées, il y a deux semaines dans la voiture... Sans parler aussi de cette histoire de manipulation au PACS... Je ne reviendrais pas plus loin. (je t'accueille a bras ouvert le 15 puis une nuit avec mathieu plus tard, ah non en fait... Je sais que tu m'as trompé)
T'es bien trop obnubilée par ta personne. Pour discuter avant de faire des bêtises. Une enfant capricieuse. Un pantin agité, qui s’évertue à gesticuler, pour combler le vide abyssal dans son coeur.

Ce qui me laisse juste songeur, c'est que tu t'en rendras compte. Ce que tu as perdu. A côté de quoi tu passes. Sous tous les aspects. De toutes façon tu ne pourras pas le reconnaître. Trop imbue. Trop fière. Ça deviendra ton problème. Ça te hanteras.
Parce que, un jour, tu auras des enfants, j'en suis sur. Mais pour toi, pas pour eux. Parce que tes démons ne te quitterons pas. Parce que tu n'auras pas de couple stable et tu ne seras JAMAIS amoureuse. Tu feras des effort, pour me prouver que j'ai tords... Et ça sera douloureux quand ton naturel reviendra. Tu n'as pas confiance en toi... Tu n'es pas stable.

J'ai dépensé un an et demi. A comprendre que certaines personnes sont toxiques. J'en tire quelques enseignements, au final. Toi, de notre histoire, à part quelques souvenirs, tu n'as rien à en retirer.

Et c'est pour ça que malgré toute la tristesse, et colère que je ressens... Je te plains. Je te plains sincèrement. Je suis désolé pour toi qui ne connais pas l'abandon. Qui ne connais pas ce que c'est que de ressentir l'amour profond, véritable, simplement parce qu'il ne faut pas regarder son nombril pour ça.
Je serais triste... un instant. Et je passerais à autre chose.

Toi, tu seras toujours du marbre.
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