[ChatMachiste]

Bon j'ai une grosse énergie aujourd'hui

Toutes les citations viennent de l'article.

Les mecs me fuient quand ils ne m'ignorent pas ou sont désagréables. Sur internet, beaucoup ne me répondent même pas. Moi, dans la vie, j'attire les boulets ou les clodos bourrés. Jamais les mecs classes qui veulent s'engager.

Je me remets jamais en question. Je ne suis jamais sorti du schéma de mes relations passés.
Je n'ai jamais essayé d'aimer j'attends toujours qu'on m'aime.
C'est pas que je sais pas aimer c'est que j'ai pas trouvé le bon.

Ma première histoire a duré sept ans (en on-off) et j'en ai énormément souffert. Ce mec a détruit une partie de moi et je l'ai rayé de ma vie (pervers narcissique surdoué). Depuis, j'ai eu quelques histoires assez nazes avec des mecs à problèmes (œdipe avec la mère) rencontrés en voyage. Ça démarrait fort et après quelques mois, j'avais juste envie de les tuer à cause de leurs défauts de névrosés/complexés et/ou de leur bêtise. Dois-je aussi mentionner que je n'ai jamais pris mon pied avec un mec?

J'ai pas fait le deuil de ma première histoire.
Je suis pas capable de comprendre que l'intensité ne fait pas la durée, que l'amour n'est pas le désir, que la sécurité n'est pas l'aventure.
Je suis pas non plus capable de comprendre que le couple est une forme d'engagement et que dès que quelque chose ne va pas, je m'en vais.

Non, je ne plais pas. Ou plus. Pourtant, je suis jolie, belle peau, beaux cheveux... intelligente, cultivée, ouverte, gentille...

Mais oui le sentiment amoureux naît quand l'autre correspond à la liste des qualités que j'attends consciemment.

L'année de mes 30 ans, j'ai revu un ami d'enfance et suis (re)tombée raide dingue de ce mec. J'ai essayé de me raisonner mais rien à faire. Il n'y avait plus que lui. J'ai fantasmé grave. On a eu des moments intimes... puis il a disparu

Je me connais tellement peu, j'ai si peu de possibilité que j'idéalise le moindre mec qui me plait.

En tout cas, je ne m'ennuie jamais. J'habite un joli studio à Paris et je ne suis pas à plaindre... J'ai une belle vie. Je fais ce que je veux quand je veux. j'adore voyager... mais les voyages en groupes se passent de plus en plus mal et en solo j'ai donné...

Alors la le rapport de causalité est excellent.
C'est bien connu que l'absence de limites est synonyme de bonheur.

Continuons avec la réponse :

Pas à la baisse, non. Vous ne me verrez jamais vous conseiller de baisser vos attentes et d’accepter un homme qui ne vous traite ou ne vous aime pas comme vous le méritez.

Bah oui ! il faut être aimé comme Maman t'aime !
C'est à dire indépendamment de ce que tu es et peu importe ce que tu fais.
Mais l'idée d'apprendre à aimer et de développer des qualités humaines personnelles ? ah ça non.

Vous semblez alourdir votre vie d’une pression sociale qui n’est pas nécessaire. La vérité, Clémence, c’est que si vous n’étiez pas aussi attachée à trouver un homme, votre vie serait tout à fait satisfaisante

Ce qui ressort du message de Clémence c'est pas le manque de couple.
C'est le manque de relation enrichissante avec autrui.

Vous n’avez pas besoin d’un homme pour décider maintenant si vous avez envie et besoin de faire un enfant dans un futur proche –si ce n’est pas le cas et que vous pensez que notre avis n’est pas définitif, vous pouvez toujours entamer une procédure pour congeler vos ovocytes.

Bah non mais elle cherche quelqu'un pour l'élever aussi.
C'est dur d'être deux et d'élever un gosse, c'est dur d'être seul et d'élever un gosse.

Vous pouvez continuer à vous focaliser sur vos amis, votre famille, vos passions, vos désirs, vos rêves. Vous pouvez mener une vie riche dans laquelle, éventuellement, un homme se greffera un jour.

Je dis oui, complètement !
Sa conclusion est bonne, c'est exactement ce qui est dit ici.