Discussion: Dossier NPU
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Vieux 10/02/2017, 14h55
don Diego de la Vega don Diego de la Vega est déconnecté
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3) Notre histoire


On vous propose quelques exemples de notre expérience personnelle. Comment on s’y est mis, d’où on est parti.
C’est un petit bonus par rapport à l’article, juste pour imager quelques chemins de progressions possibles.

Citation:
Envoyé par Duc
Le NPU ? S'y est mis un peu au forceps.
Vers mes 21 ans, des potes ainsi qu'une ex me motivent à m'inscrire à un cours de Lindy Hop.

À reculons je leur dit ok pour le premier cours gratuit. Ça m'a fait kiffer.
Je sais pas si vous avez déjà fait des cours de danse en groupe ? T'es en cercle, et les filles défilent. Tu connais pas leur prénom, mais il fait mettre une main sur leur hanche, etc... J'y ai appris un rapport complètement différent envers le corps. Le mien. Et celui des autres. C'était pas si compliqué de toucher le corps d'une femme, dans la danse.

Révélation. Sur moi, et sur les femmes, ça m'a permis d'être à l'aise en danse avec mon corps, avec le fait de ne pas être forcément un bon danseur. Des HB9 étaient 1000 fois pire que moi niveau coordination et rythme.
Prise de conscience, prise de confiance !
On peut danser et mettre sa main dans le dos d'une nana. C'est rien du tout.
Et oser danser même si on est pas un très bon danseur, ça te mets 1000 pieds au dessus d'un super beau mec qui reste au bar.

Je fais ma danse en NPU, et je m'en bats les steaks des trucs autour. Je suis pas un très bon danseur. Mais je danse. Je suis pas Brad Pitt mais j'aborde.


Citation:
Envoyé par Marqual
Quand j'ai découvert ADS, le NPU est le premier field que j'ai testé. J'étais étudiant, ça me semblait inimaginable de rencontrer une totale inconnue et de coucher avec elle dans la même soirée.

Je sortais 2 ou 3 fois par mois dans des bars étudiants de Paris, avec des potes peu motivés. Et je testais des openers trouvés sur le site, mon but étant à l'époque de vaincre ma peur de l'approche. On va pas se mentir, j'ai ramé. Débutant, seul pour ainsi dire, des phrases que je trouvais bonnes mais qui n'étaient pas de moi... mauvais combo. OK, il y a eu un ou deux KC, mais beaucoup, beaucoup de bâches. Et encore plus de dégonflage de ma part.

Ceci dit, ça m'a progressivement désensibilisé au râteau. Et par conséquent ça m'a permis d'acquérir un peu plus de détachement, donc un peu plus de couilles, et donc plus d'efficacité. Je me faisais beaucoup moins jeter d'entrée de jeu, j'arrivais un peu plus souvent à KC et NC dans la foulée. Mais toujours pas de FC. C'est là que j'ai compris que la logistique était primordiale. L'avantage c'est que ça se rectifie facilement. Quitter une chambre en banlieue pour une coloc dans Paris, prévoir des capotes, avoir toujours sa chambre propre et plus ou moins rangée, de quoi faire un cocktail et/ou un petit plat facile, pas besoin de plus. Pas besoin de réel et long travail sur soi sur ce point.

Puis les choses ont commencé à s'accélérer. Avec ma meilleure pote à Paris, j'ai pu découvrir les joies et la puissance du groupe mixte en NPU. A cette époque j'avais envie de me prouver que je pouvais jouer en ligue des champions toutes les semaines et gagner régulièrement. J'ai donc commencé à bombarder en NPU (deux sorties minimum par semaines) avec deux objectifs :
- 1/ La présélection avec ma meilleure pote
- 2/ Gonfler ma confiance en moi en me prouvant que j'étais assez bon pour avoir une chance avec un vrai crush que j’avais en parallèle.

Autant dire que les nanas que je draguais alors en NPU, même si elles pouvaient être parfois superbes, n'étaient jamais un objectif en soi : je m'en foutais. Donc pendant 3-4 mois, j'ai réussi à "scorer" comme un porc. C'est là que j'ai entrevu le pouvoir du freelose. Rien à perdre, tout à gagner, que du fun.

Bilan : débuts difficiles, puis au fur et à mesure, pas mal de KC et de NC, quelques FC (pas des dizaines non plus), un threesome. Et surtout la compréhension de beaucoup de mécanismes de séduction valables pas uniquement en NPU, notamment l'importance du détachement, à la fois vis-à-vis de la fille, mais aussi du résultat. L'importance de s'amuser soi-même. C'est déjà une réussite en soi, et au moins un tiers du boulot avec les filles. L'importance de la part de chance qui reste même avec les progrès. Quelques souvenirs, dont certains complètement WTF, aussi bien epic fails qu'epic wins.

Citation:
Envoyé par Diego
Pendant longtemps, j’étais vachement réfractaire à tous ces endroits dédiés au culte du corps. Je ne supportais pas la danse, et avec le recul aujourd’hui je pense que je faisais un blocage par rapport à ma perception de mon propre corps. Faut s’assumer un minimum pour pouvoir prendre son pied sur la piste de danse...

C’est venu tout seul au bout d’un moment, à force de faire du sport et de prendre soin de moi (hygiène, shopping, muscu, etc..).
Une fois qu’on se sent confiant, on a fait 99% du boulot. A partir de là on s’est bat les steaks et on fait comme on veut.

J’ai réalisé que le plus important c’est la posture qu’on a sur la piste, et pas notre qualité artistique en tant que danseur.
Etre détendu avec son propre corps et avec celui des filles qui viennent se frotter, c’est vraiment ça le plus important.
Pour le reste, quelques pas que je colle à toutes les sauces, essayer d’être souple des articulations (genoux, bassin, épaules..) et ça roule.

Danser un minimum c’est important pour profiter du field NPU qui est très sympa.
Aujourd’hui j’ai du plaisir quand je danse, faut dire que ça aide quand on est bien accompagné !!

Citation:
Envoyé par Haruh
Je n’ai jamais vraiment dansé avant cette année. J’avais peur des moqueries et puis je me disais que je devais acquérir un certain niveau avant de pouvoir y aller.
Il y a 3 choses qui m’ont sauvé de cette foire d’empoigne dégueulasse et uniquement psychologique:

- En NPU la visibilité est moindre. A part lever les bras comme un teubé, personne ne vous remarque vraiment. Vous appartenez aux lots des danseurs. Bouger son corps de manière cohérente et sur le rythme de la musique suffit amplement.

- On a beaucoup moins la danse dans le sang que les femmes. Vous vous imaginez en tant que femme, ne pas savoir danser alors que toutes les autres bouges leurs forment mieux que leurs mains… Nous en tant que mecs, on a relativement peu “d’adversaires”.
Et puis j’ai vu de ces cadavres bouger sur la piste, le genre de mec avec une articulation. Du coup je me suis dis que même en le voulant, je ne pouvais pas faire pire que lui. J’allais pas être le plus nul.

- Bien savoir vous entourer. J’ai fais connaissance avec un groupe de femmes qui savent toutes danser. En soirée, les premières fois je leur ai dit que je ne savais pas vraiment danser. Elles ont rigolé et j’ai eu droit à plusieurs cours de danse en direct. C’était juste apprendre à bouger en rythme et que j’ai un corps et elles aussi. Elles guidaient mes mains sur elles. Elles m’incitaient presque à les toucher sensuellement.
Les fois d’après, elles me poussaient pour danser avec elle quand j’étais pas dedans. Et je peux vous dire que danser au milieu de 4 femmes qui prennent leurs pied ça vous donne de la valeur aux yeux des autres.

Maintenant je m’en sors plutôt pas mal et je commence même à prendre du plaisir à danser. Donc ce qu’il faut faire c’est foncer. Si tu as peur de pas savoir quoi faire, regardes des vidéos, des amis qui savent danser et entraînes toi chez toi. Il suffit juste d’avoir 2-3 façons de bouger à vitesse variables pour commencer. Ensuite tu pourras tenter des mooves plus osés.
Citation:
Envoyé par Notic
J’ai vraiment commencer à sortir pour choper à 25 ans. La relation humaine ne m’interessait pas du tout, la séduction non plus. Je cherchais pas à dater ou à NC. C’était draguer pour baiser baiser et encore baiser. Un jour je fantasmais sur les petits culs le lendemain sur les gros. On sortait à 2 généralement avec un pote dans le même délire.

Une bouteille d’alcool fort coulée, et c’est parti pour la chasse aux culs.
Ma technique? Je dirais que je me deplace beaucoup, tout le temps presque. Je me deplace et laisse trainer mes mains sur des hanches des epaule des bras des cheveux. Quand je croise une fille je la regarde de haut en bas je l’osculte” avant meme de dire un mot. Comme si je faisais mon marché. Quand je parle c’est presque toujours pour neg ou dire un truc sale. Quand je sens que je plais je l’emmene danser. Apres avoir tiré une HB un peu plus loin dans un endroit calme je la regarde de haut en bas pendant qu’elle me raconte qu’elle est étudiante à tel ou tel endroit. “_ Nan mais en fait ca m’en branle, je me demandais si t’avais quelque chose sous ton legging?” Et ca passe… C’est incompréhensible mais ca passait presque toujours. La plupart des filles loin d’être choquées réagissent bien et avec un peu de chance on peut même entendre “ahah va falloir le découvrir toi même! _Oh mais je suis un explorateur!” J’étais le pire connard du monde en NPU. Mais le connard sympa qui te fais marrer.

C’est probablement le pire endroit pour le faire, mais quel bonheur de baiser une bombe dans les chiottes d’un club ressortir et aller en emballer une autre 10 min après. Non vraiment le mec qui dit que le NPU c’est pas pour chopper je le comprends pas.

Des mini rateaux on en prend c’est vrai. Beaucoup. La fille qui te regarde pas qui te calcule pas ou même qui t’envoie chier parfois. Mais y’en a une autre qui passe 2 secondes après, elle est déjà oubliée… C’est ca la magie des clubs pour moi. La qualité (je parle QUE du physique) et la quantité. Sans compter le nombre de bonnes rencontres que l’on fait. Mecs comme meufs.
Le NPU m’a permis de faire des scores de malade en peu de temps.

Parce que des filles qui veulent pas ONS y’en a un paquet...
Vive la république et vive le NPU.
Vous aussi, racontez-nous votre histoire dans les commentaires

Dernière modification par don Diego de la Vega ; 26/03/2017 à 15h33
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